a) Les codes de freinage (trois barres horizontales noires encadrées),apparaissant aux quatre « angles »
des faces frontales, étaient moulées et peintes en noir et blanc avec la bonde, de la même manière que
les inscriptions noires en relief "DB 599 304 P" et figurant au bas, à gauche des flancs latéraux de la
bonde, ceci directement au-dessus des petites plaques légèrement rectangulaires (8 mm x 9 mm),
fixées sur le cadre supportant la bonde et reproduisant le quadrillage des lignes devant recevoir à la
craie les diverses inscriptions des gares de départ et de destination du wagon, ainsi qu'une reproduc-
tion d'une lettre de voiture pour wagon de marchandises. Par contre, le sigle "RIV" apparaît également
en relief, mais à droite de la bonde
.
b) Les quatre roues des deux essieux étaient, extérieurement et intérieurement, parfaitement pleines, alors
que les fusées des axes étaient tournées au même diamètre que celui appliqué entre les deux roues
correspondantes ; ces essieux étaient désignés par « Stummelachsen », qui se traduit en français par
« tourillons », soit les deux parties extrêmes des axes qui tournent dans les boîtes d'essieux
c) Ces tourillons tournaient dans des boîtes d'essieux très réalistes et semi-fermées du plus bel effet,
permettant ainsi un graissage efficace depuis la partie inférieure de chacune de celles-ci. A partir
de 1955, lorsque cessa la production des anciennes séries 300 en métal injecté, les wagons 4500 à
deux essieux (bien meilleur marché) prirent la relève (entre autres wagons couverts de diverses exécu-
tions, plats, citernes, bi-foudres pour le transport du vin et bi-réservoirs verticaux pour le transport de la
poussière de charbon, etc.), tous de même longueur hors tampons (10 cm) donc munis du même
.