Introduction:
De la même manière que celle appliquée pour la réalisation des deux ballastières, soit “GB (“Gotthardbahn” ou Saint-Gothard” en français) et “SBB-CFF” (voir chapitre précédent), ce nouveau wagon constitue carrément une complète reconstruction par habillage d'un châssis court brut de 16 cm de longueur hors tampons, donc seulement muni de ses tampons, attelages et essieux, ceci en séparant dudit châssis la caisse de mon deuxième wagon tombereau L6 gris BUCO, afin d'utiliser le châssis en question pour réaliser ce nouveau wagon; bien évidemment la caisse du L6, ainsi que la paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales à vantaux ont été prudemment démontées et conservées. Bien que ce nouveau wagon soit muni d'une plateforme ouverte, spécialement créée pour l'occasion, sa longueur hors tampons ne doit pas dépasser 16 cm. En effet, un châssis normal de 18 cm de longueur hors tampons, donc déjà muni d'une plateforme ouverte avec sa rambarde, aurait été trop long par rapport au wagon réel à reproduire.
.
Afin de réaliser ce wagon à vin, j'ai effectué une commande préalable de matériel auprès de Peter Wülser de Wolhusen, soit un foudre BUCO original avec son support/plaques de raison sociale, ainsi qu'une paire d'échelles centrales d'accès à l'orifice de remplissage (une seule échelle est utilisée), une rambarde frontale avec sa vis de frein visible, rambarde devant être installée sur une des deux extrémités du châssis, ainsi qu'une paire d'escaliers pour l'accès à ladite plateforme ouverte; ces divers éléments me permettent ainsi de construire un wagon CFF mono-foudre.
.
Récemment, j'ai reçu un courriel de SBB-Historic, avec en annexe deux illustrations relatives aux Ateliers Principaux de Bellinzone, photographies réalisées dans les années 1920 à 1950. J'ai immédiatement et particulièrement été séduit par la paire de wagons CFF mono-foudres, qui furent les seuls de ce genre en Suisse (numéros 526806 P et 526807 P) et qui, bien évidemment, n'existent plus depuis fort longtemps. Ces deux wagons étaient rattachés à la gare de Mendrisio près de Chiasso.
.
En tapant sur Internet “Weinwagen SBB Serbatoio Vino Chiasso”, j'ai pu découvrir les modèles super détaillés de Dingler et Kesti, ce qui m'a permis de télécharger les principales inscriptions techniques figurant sur le modèle Dingler, ceci en raison de la vue latérale parfaitement présentée, soit: “SBB-CFF” avec le numéro “526806 P”, le sigle encadré “T” pour “Transit” (devenu “RIV” par la suite), ainsi que la raison sociale “Serbatoio Vino Chiasso”, inscriptions nécessaires à l'élaboration de mon modèle “Tin-Plate 0”. Par contre, j'ai dû entièrement réaliser, en grand format, la paire de plaques techniques d'immatriculation (en allemand et en français et placées à gauche des flancs latéraux du châssis), les photographier, puis les transférer dans le dossier “Excel”, afin de les dimensionner correctement puis finalement de les imprimer sur du papier satiné blanc de 100 gr/m2. Bien évidemment, seules les principales inscriptions ont été appliquées, car un super détaillage aurait été absolument contraire à “l'esprit Tin-Plate 0” et n'aurait de ce fait plus du tout été en harmonie avec les autres wagons de ma collection; dans son aspect simple mais réaliste, ce wagon s'allie à la perfection avec mes divers wagons bi-foudres; ce wagon CFF mono-foudre a donc bel et bien avant tout été exécuté dans le respect du parfait style original de BUCO.
.
Ordre chronologique des opérations de reconstruction:
.
- Séparation de la caisse du châssis de mon deuxième wagon gris L6 BUCO de 16 cm de longueur hors
De la même manière que celle appliquée pour la réalisation des deux ballastières, soit “GB (“Gotthardbahn” ou Saint-Gothard” en français) et “SBB-CFF” (voir chapitre précédent), ce nouveau wagon constitue carrément une complète reconstruction par habillage d'un châssis court brut de 16 cm de longueur hors tampons, donc seulement muni de ses tampons, attelages et essieux, ceci en séparant dudit châssis la caisse de mon deuxième wagon tombereau L6 gris BUCO, afin d'utiliser le châssis en question pour réaliser ce nouveau wagon; bien évidemment la caisse du L6, ainsi que la paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales à vantaux ont été prudemment démontées et conservées. Bien que ce nouveau wagon soit muni d'une plateforme ouverte, spécialement créée pour l'occasion, sa longueur hors tampons ne doit pas dépasser 16 cm. En effet, un châssis normal de 18 cm de longueur hors tampons, donc déjà muni d'une plateforme ouverte avec sa rambarde, aurait été trop long par rapport au wagon réel à reproduire.
.
Afin de réaliser ce wagon à vin, j'ai effectué une commande préalable de matériel auprès de Peter Wülser de Wolhusen, soit un foudre BUCO original avec son support/plaques de raison sociale, ainsi qu'une paire d'échelles centrales d'accès à l'orifice de remplissage (une seule échelle est utilisée), une rambarde frontale avec sa vis de frein visible, rambarde devant être installée sur une des deux extrémités du châssis, ainsi qu'une paire d'escaliers pour l'accès à ladite plateforme ouverte; ces divers éléments me permettent ainsi de construire un wagon CFF mono-foudre.
.
Récemment, j'ai reçu un courriel de SBB-Historic, avec en annexe deux illustrations relatives aux Ateliers Principaux de Bellinzone, photographies réalisées dans les années 1920 à 1950. J'ai immédiatement et particulièrement été séduit par la paire de wagons CFF mono-foudres, qui furent les seuls de ce genre en Suisse (numéros 526806 P et 526807 P) et qui, bien évidemment, n'existent plus depuis fort longtemps. Ces deux wagons étaient rattachés à la gare de Mendrisio près de Chiasso.
.
En tapant sur Internet “Weinwagen SBB Serbatoio Vino Chiasso”, j'ai pu découvrir les modèles super détaillés de Dingler et Kesti, ce qui m'a permis de télécharger les principales inscriptions techniques figurant sur le modèle Dingler, ceci en raison de la vue latérale parfaitement présentée, soit: “SBB-CFF” avec le numéro “526806 P”, le sigle encadré “T” pour “Transit” (devenu “RIV” par la suite), ainsi que la raison sociale “Serbatoio Vino Chiasso”, inscriptions nécessaires à l'élaboration de mon modèle “Tin-Plate 0”. Par contre, j'ai dû entièrement réaliser, en grand format, la paire de plaques techniques d'immatriculation (en allemand et en français et placées à gauche des flancs latéraux du châssis), les photographier, puis les transférer dans le dossier “Excel”, afin de les dimensionner correctement puis finalement de les imprimer sur du papier satiné blanc de 100 gr/m2. Bien évidemment, seules les principales inscriptions ont été appliquées, car un super détaillage aurait été absolument contraire à “l'esprit Tin-Plate 0” et n'aurait de ce fait plus du tout été en harmonie avec les autres wagons de ma collection; dans son aspect simple mais réaliste, ce wagon s'allie à la perfection avec mes divers wagons bi-foudres; ce wagon CFF mono-foudre a donc bel et bien avant tout été exécuté dans le respect du parfait style original de BUCO.
.
Ordre chronologique des opérations de reconstruction:
.
- Séparation de la caisse du châssis de mon deuxième wagon gris L6 BUCO de 16 cm de longueur hors
tampons, donc non muni d'une plateforme ouverte, ni d'une vigie de garde-freins
.
- Démontage de la paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales à vantaux
.
- Passage au papier de verre ultra fin, puis au chiffon sec du plancher, ainsi que des parois frontales et laté-
.
- Démontage de la paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales à vantaux
.
- Passage au papier de verre ultra fin, puis au chiffon sec du plancher, ainsi que des parois frontales et laté-
rales du châssis, de façon à rendre les surfaces parfaitement propres pour l'application de la nouvelle
peinture gris-clair et enlèvement complet de la peinture du plancher, jusqu'à l'apparition du métal blanc, sur
une largeur d'un centimètre environ sur une des deux faces frontales (poutres porte-tampons) devant rece-
voir la rambarde et la vis de frein visible, situées sur la plateforme ouverte
.
- Enlèvement complet de la peinture du plancher, jusqu'à l'apparition du métal blanc sur une largeur d'un
.
- Enlèvement complet de la peinture du plancher, jusqu'à l'apparition du métal blanc sur une largeur d'un
centimètre et une longueur de cinq centimètres depuis le début de la partie gauche des longerons latéraux
du châssis, sur lesquels sont soudées à 17 mm. du départ gauche de chaque longeron latéral les plaques
verticales en feuille de laiton de 2/10ème de mm devant recevoir les inscriptions techniques
.
- Traçage au pointeau et perçage, à l'extrémité de la face frontale concernée de ce châssis court, de cinq ori-
.
- Traçage au pointeau et perçage, à l'extrémité de la face frontale concernée de ce châssis court, de cinq ori-
fices de 1,5 mm. de diamètre (commençant à 5 mm. des deux bords dans le sens de la largeur du châssis
et à 2 mm. du bord dans le sens de la longueur du châssis), conformément aux emplacements des mon-
tants verticaux extérieurs et des deux barreaux intérieurs de la rambarde, ainsi qu'à l'emplacement de la vis
de frein visible. Ainsi, en partant depuis la gauche, au-dessus des tampons, percer cinq orifices pour le mon-
tage de la rambarde avec sa vis de frein visible, soit : à 5 mm. (bord vertical gauche du cadre), à 17 mm.
(premier barreau vertical intérieur), à 22 mm. (vis de frein “fonctionnelle”), puis à 36 mm. (deuxième barreau
vertical intérieur) et enfin à 48 mm. (bord vertical droit du cadre). La distance, entre les fixations des montants
verticaux extrêmes du cadre de la rambarde, s'élève ainsi à 43 mm.
.
- Traçage au pointeau et perçage au centre du plancher du châssis d'un orifice permettant la fixation du foudre
.
- Traçage au pointeau et perçage au centre du plancher du châssis d'un orifice permettant la fixation du foudre
et de son support/plaques de raison sociale, soit à 26,5 mm. dans le sens de la largeur à partir du bord des
deux longerons latéraux (largeur du plancher = 53 mm.), et à 72 mm. (longueur du plancher = 144 mm.) dans
le sens de la longueur à partir du bord des deux longerons frontaux (poutres porte-tampons)
.
- Montage et fixation par colle forte de la rambarde terminée, alors que la vis de frein visible demeure "fonc-
.
- Montage et fixation par colle forte de la rambarde terminée, alors que la vis de frein visible demeure "fonc-
tionnelle”, donc manipulable. Bien que le châssis du wagon soit peint en gris-clair, la rambarde demeure à
la couleur noire; quant à la vis de frein, elle ne reçoit pas de peinture, du fait qu'elle est chromée
.
- Fixation par soudure à l'étain à l'intérieur du châssis, immédiatement derrière la poutre porte-tampons con-
.
- Fixation par soudure à l'étain à l'intérieur du châssis, immédiatement derrière la poutre porte-tampons con-
cernée, de la paire d'escaliers d'accès à la plateforme ouverte; ces escaliers sont peints en gris-clair
.
- Fabrication et pose par soudure à l'étain de la paire de plaques en laiton, placées sur le châssis à gauche
.
- Fabrication et pose par soudure à l'étain de la paire de plaques en laiton, placées sur le châssis à gauche
des parois latérales à 17 mm. du bord extérieur de chaque paroi frontale. Dimensions de ces plaques: 20
mm. de largeur et 35 mm. de hauteur; les derniers 8 mm. dans le sens de la hauteur sont rabattus intérieu-
rement de 90 degrés, de façon à souder ces plaques sur le châssis; ces plaques reçoivent les inscriptions
techniques d'immatriculation, confectionnées et imprimées sur du papier blanc satiné de 100 gr/m2; dimen-
sions des feuilles de papier: 20 mm x 27 mm. Ces plaques sont peintes en gris-clair, recto et verso
.
- Peinture en gris-clair du châssis désormais complètement équipé des éléments cités ci-dessus
.
- Démontage de l'une des deux échelles centrales originales d'accès à la partie supérieure des foudres
.
- Passage au papier de verre ultra fin puis au chiffon sec sur les cercles intérieurs, puis peinture en gris-clair
.
- Peinture en gris-clair du châssis désormais complètement équipé des éléments cités ci-dessus
.
- Démontage de l'une des deux échelles centrales originales d'accès à la partie supérieure des foudres
.
- Passage au papier de verre ultra fin puis au chiffon sec sur les cercles intérieurs, puis peinture en gris-clair
du foudre et de ses cercles, sauf ceux d'extrémité, qui conservent leur couleur noire, toutefois renforcée à
l'aide d'un stylo-feutre adéquat et indélébile
.
- Après séchage complet, montage au centre du châssis du foudre et de son support/plaques de raison so-
.
- Après séchage complet, montage au centre du châssis du foudre et de son support/plaques de raison so-
ciale. Toutefois, je me dois de préciser que, par opposition au foudre de la marque Dingler (citée en début
de chapitre), celui de BUCO correspond par contre exactement à l'aspect du foudre CFF. Quant à la bordure
de la paire de plaques, entourant la partie plane recevant la raison sociale, elle demeure peinte en noir
.
- Confection en carton (avec surface supérieure collée en feuille de laiton), peinture en noir et pose sur le côté
.
- Confection en carton (avec surface supérieure collée en feuille de laiton), peinture en noir et pose sur le côté
latéral gauche du foudre (depuis la plateforme ouverte) d'un marche-pieds supérieur, ainsi que ses trois
supports pour l'accès à l'orifice de remplissage du foudre. Les dimensions de ce marche-pied sont de l'or-
dre de 15 mm de largeur, de 60 mm. de longueur et de 3 mm. d'épaisseur; par contre, la feuille supérieure
de laiton mesure 63 mm de longueur, les trois millimètres supplémentaires étant rabattus à 90 degrés sur
un côté contre la partie frontale du marche-pied, de façon à ce que l'échelle d'accès (largeur de 10 mm.) à ce
marche-pied soit soudée au centre dudit marche-pied contre la face frontale concernée
.
- Montage de l'échelle (qui conserve sa couleur noire originale) conformément à la réalité, en biais contre la
.
- Montage de l'échelle (qui conserve sa couleur noire originale) conformément à la réalité, en biais contre la
face frontale du foudre, puis fixation par soudure à l'étain de celle-ci contre le marche-pieds supérieur, ainsi
qu'application d'une colle forte dans sa partie inférieure, de façon à ce que cette échelle s'appuie sur le plan-
cher du wagon
.
- Confection, impression sur du papier satiné blanc de 100 gr/m2, puis application des inscriptions techni-
.
- Confection, impression sur du papier satiné blanc de 100 gr/m2, puis application des inscriptions techni-
ques sur les plaques de laiton situées à gauche de chacune des deux parois latérales du châssis; ces
inscriptions sont en allemand du côté de la plateforme ouverte et en français sur le côté opposé de la fin
du châssis
.
- Confection, impression en deux exemplaires de la raison sociale “Serbatoio Vino Chiasso”, puis application
.
- Confection, impression en deux exemplaires de la raison sociale “Serbatoio Vino Chiasso”, puis application
de celle-ci sur chacune des deux plaques centrales faisant suite au support du foudre
.
- Confection, impression, puis application (en partant de la gauche) sur la paire des longerons latéraux du
.
- Confection, impression, puis application (en partant de la gauche) sur la paire des longerons latéraux du
châssis, des mentions “SCHWEIZ” et ”SUISSE”, du numéro “526806 P” au centre (sous la raison sociale) et
enfin, à droite, du sigle “T” encadré pour “Transit”
.
- Le wagon est terminé, prêt à être incorporé dans un train de marchandises.
.
La réalisation de cette pièce unique de wagon à vin mono-foudre a exigé un travail considérable; c'est ce qui en a fait son charme... et finalement sa valeur patrimoniale.
.
Souvenirs lointains:
.
Il y a de cela d'une bonne quarantaine d'années, à l'extrémité du cul-de-sac de la halle aux marchandises (hélas disparue aujourd'hui) de la gare d'Aigle, j'ai aperçu un wagon-citerne métallique à deux essieux (semblable à ceux destinés au transport des hydrocarbures), portant la raison sociale “Serbatoio Vino Chiasso” et transportant ou ayant vraisemblablement transporté du vin rouge “Merlot del Ticino” (ou peut-être un autre vin en provenance d'Italie) et destiné à la Maison de Vins Junod, car desservie par une voie de raccordement; avec le recul, sans pouvoir le prouver d'une manière absolue, il est toutefois possible que l'un, voire carrément les deux wagons mono-foudres décrits ci-dessus, aient pu être expédiés à Aigle au départ de Mendrisio ou Chiasso et au retour d'Aigle au Canton du Tessin, très probablement via Bellinzone - Olten - Bienne - Renens et vice-versa. Pour ces raisons, ce modèle “Tin-Plate 0” ne devait pas manquer sur mon modeste réseau.
.
- Le wagon est terminé, prêt à être incorporé dans un train de marchandises.
.
La réalisation de cette pièce unique de wagon à vin mono-foudre a exigé un travail considérable; c'est ce qui en a fait son charme... et finalement sa valeur patrimoniale.
.
Souvenirs lointains:
.
Il y a de cela d'une bonne quarantaine d'années, à l'extrémité du cul-de-sac de la halle aux marchandises (hélas disparue aujourd'hui) de la gare d'Aigle, j'ai aperçu un wagon-citerne métallique à deux essieux (semblable à ceux destinés au transport des hydrocarbures), portant la raison sociale “Serbatoio Vino Chiasso” et transportant ou ayant vraisemblablement transporté du vin rouge “Merlot del Ticino” (ou peut-être un autre vin en provenance d'Italie) et destiné à la Maison de Vins Junod, car desservie par une voie de raccordement; avec le recul, sans pouvoir le prouver d'une manière absolue, il est toutefois possible que l'un, voire carrément les deux wagons mono-foudres décrits ci-dessus, aient pu être expédiés à Aigle au départ de Mendrisio ou Chiasso et au retour d'Aigle au Canton du Tessin, très probablement via Bellinzone - Olten - Bienne - Renens et vice-versa. Pour ces raisons, ce modèle “Tin-Plate 0” ne devait pas manquer sur mon modeste réseau.
.
Ci-après, quelques photographies y relatives.
.
Ci-après, quelques photographies y relatives.
.
.
.
Ci-dessus, le voici, le fameux couple unique des wagons mono-foudres CFF sortant de révision des Ateliers de Bellinzone et, ci-dessous, gros plan sur le 526806 P, celui qui m'a servi de modèle pour réaliser mon wagon
.
.
.
Voici le modèle Dingler super détaillé à l'écartement I; il m'a servi pour reproduire les principales inscriptions figurant sur les longerons latéraux du châssis, ainsi que celles relatives à la raison sociale; par contre, le foudre ne correspond pas du tout à celui figurant sur les wagons CFF
Voici le modèle Dingler super détaillé à l'écartement I; il m'a servi pour reproduire les principales inscriptions figurant sur les longerons latéraux du châssis, ainsi que celles relatives à la raison sociale; par contre, le foudre ne correspond pas du tout à celui figurant sur les wagons CFF
.
.
Ci-dessus, vue du côté gauche de mon wagon à vin CFF respectant le style original BUCO, avec inscriptions techniques en allemand et, ci-dessous, vue du côté droit, avec inscriptions techniques en français
.
.
.
Vue de face, côté de la plateforme ouverte, de la vis de frein et de l'échelle d'accès au sommet du mono-foudre
.
.
.
Ci-dessus, ce wagon, absolument unique en son genre au niveau du "Tin-Plate 0" de style suisse, en queue d'un train de marchandises avec service voyageurs - GmP ou "Güterzug mit Personenbefördung" - et, ci-dessous, le même wagon en tête dans un autre train de marchandises.
.
.
Résumé des diverses améliorations admissibles, que j'ai appliquées sur mes voitures et wagons “Tin-Plate 0”:
.
De la même manière que dans la réalité, ceci dans le but d'atteindre une harmonisation aussi parfaite que possible entre les voitures voyageurs et les wagons de marchandises “Tin-Plate 0” de ma collection, voici en résumé ce que j'ai constaté et les améliorations qui ont nécessairement suivi, tout en veillant à respecter aussi scrupuleusement que possible le style original du wagon:
.
Sur la voiture voyageurs BUCO BC 2 8683, les chiffres 2 et 3 des classes sont intervertis (exemple: paroi latérale gauche, de gauche à droite, chiffres 2 et 3; paroi latérale parallèle, de gauche à droite, chiffres 2 et 3 en lieu et place de 3 et 2). De plus, j'ai installé une vis de frein sur une des deux plateformes ouvertes. Toutes mes voitures voyageurs ont en outre été munies de l'éclairage intérieur. Sur chacune des voitures voyageurs BUCO de ma collection, une des deux parois latérales de la caisse (depuis l'intérieur de celle-ci), est munie d'un carton blanc recouvrant la fenêtre centrale, concrétisant ainsi la présence d'un compartiment WC.
.
Adjonction des imitations de soufflets frontaux (figurant par contre sur les voitures à quatre essieux), en position rabattue sur les faces frontales, ainsi qu'une paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales à glissières du wagon-fourgon BUCO F No 8690. Ce wagon a été équipé de l'éclairage intérieur
.
Le wagon couvert allemand DRG “FYFFES” de couleur jaune, de MAERKLIN, avec vigie de garde-freins et destiné au transport des bananes, est muni d'origine d'une paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales centrales à glissières, ce qui m'a obligé à équiper dans ce sens l'ensemble de mes wagons couverts CFF BUCO des types “K2” et “BELL” ainsi que les tombereaux “L6”. Le wagon couvert allemand “FYFFES” comporte des inscriptions techniques et de raison sociale parfaitement réalistes. Deux de mes wagons K2 ont en outre été munis d'un signal de queue fonctionnel fixe, alimenté par le rail central
.
Certains wagons de marchandises BUCO sont munis de la plateforme ouverte avec vis de frein visible ou d'une vigie de garde-freins (longueur hors tampons de 18 cm); cela m'a obligé à munir l'ensemble de mes wagons CFF et DRG/DB, équipés d'une vigie de garde-freins, d'une imitation de la colonne de frein (située entre le “nez” - emplacement de la manivelle de frein - de la vigie et le châssis) au moyen d'un câble électrique rigide et gainé de noir
.
Les inscriptions techniques de la majorité des wagons de marchandises BUCO étant réalistes, les dix-huit ranchers de mes wagons plats BUCO du type M6, en métal chromé, ont été peints à la couleur du wagon, alors que les initiales “SBB-CFF” et le numéro original BUCO (8663 pour le wagon peint en gris et 8665 pour les trois wagons à la couleur rouge-brun) ont été imprimés et appliqués par collage sur chaque rancher. Conformément à la réalité, mes wagons M6 sont tous munis d'une plateforme ouverte avec vis de frein visible d'une longueur hors tampons de 18 cm (dans la réalité, pas de wagons M6 sans passerelle ou avec vigie, donc en tout cas pas de M6 avec châssis court de 16 cm de longueur hors tampons)
.
Mes wagons-citernes CFF et FS (un wagon à deux essieux) BUCO à deux et quatre essieux, destinés aux transport des hydrocarbures et majoritairement munis de la plateforme ouverte avec vis de frein visible, sont peints à la couleur gris-argent et gris-clair au niveau de la bonde; ils ont tous reçu la bande noire centrale autour de celle-ci, de façon à qu'ils offrent un aspect conforme. En outre, un wagon-citerne ESSO a reçu une vigie de garde-freins reproduisant le style original CFF. Tous ces wagons comportent des inscriptions techniques et de raisons sociales parfaitement réalistes. Aux wagons-citernes cités ci-dessus, il faut ajouter les deux wagons à vin CFF avec bonde aux coloris blanc et bande centrale rouge de “SCHENK” à Rolle et entièrement gris-argent de “FRATELLI CORTI” à Balerna, de même que les wagons avec bonde aux teintes bleue, blanche et noire de la mention ”EMIL REINLE” de Baden-Oberstadt (hydrocarbures), ainsi que gris-anthracite et orange d'“UETIKON” (produits chimiques)
.
Le wagon-citerne ESSO à deux essieux d'ERNO étant muni de sa vigie de garde-freins originale de style particulier, j'ai maintenu celle-ci en l'état et lui ai par contre ajouté le “nez”, ainsi que la colonne de frein lui faisant suite; une paire d'escaliers d'accès BUCO à la vigie, ainsi que des inscriptions techniques et de raison sociale réalistes ont en outre été mises en place. La bonde de ce wagon a été peinte en gris-argent, alors que la bande centrale noire a été ajoutée autour de celle-ci. Ce wagon a en outre été muni d'un signal de queue fonctionnel fixe, alimenté par le rail central
.
La bonde du wagon-citerne à quatre essieux SHELL de HAG a conservé sa couleur jaune, m'obligeant par contre à immatriculer ce wagon auprès de la DB, ceci en raison du fait que la bonde des wagons-citernes CFF “SHELL” n'a JAMAIS été peinte en jaune, mais toujours en gris-argent ou gris-clair ; les deux dômes de remplissage ont été conservés et peints en noir, alors que la plateforme ouverte a reçu une paire d'escaliers d'accès de la marque MERKUR; quant à la rambarde de la plateforme ouverte, elle a été munie d'une paire supplémentaire de barreaux verticaux intérieurs et d'une vis de frein visible BUCO
.
Les deux wagons-citernes SHELL DB de FLEISCHMANN, également avec bonde de couleur jaune, ont reçu des inscriptions techniques et de raison sociales réalistes. Une paire d'escaliers BUCO d'accès à leur vigie de garde-freins, ainsi qu'une colonne de frein ont été ajoutés
.
Mes wagons mono et bi-foudres CFF BUCO sont tous munis d'une plateforme ouverte avec vis de frein visible ou d'une vigie de garde-freins parfaitement conforme au style original CFF. Les foudres sont peints en gris-clair, sauf sur un wagon, où la couleur du bois naturel a été conservée. Seuls deux wagons bi-foudres ont conservé leur châssis court de 16 cm de longueur hors-tampons, donc sans plateforme ni vigie; ils sont immatriculés auprès de la SNCF (un exemplaire avec foudres en bois naturel et l'autre avec foudres peints en gris-clair et liseré rouge sur les extrémités des faces frontales). Par contre, tous ces wagons ont reçu des inscriptions techniques et de raison sociale parfaitement réalistes.
.
Les wagons-citernes et bi-foudres BUCO originaux sont tous munis d'une paire de plaques techniques d'immatriculation (placées à gauche au-dessus de chaque côté latéral du châssis) et également d'une paire de plaques destinées à la mention de la raison sociale (placées à droite au-dessus de chaque côté latéral du châssis); la zone intérieure de ces plaques, sur laquelle apparaissent les inscriptions en question, affichent uniformément toutes les mêmes dimensions, soit une hauteur de 17 mm. et une longueur de 36 mm ; ces plaques sont encadrées d'une bordure en relief avec coins supérieurs arrondis. Les dimensions ci-dessus servent ainsi de base pour réaliser toutes les diverses plaques autres que celles produites par BUCO, ce qui demeure, entre autres, une de mes spécialités.
.
Adjonction des principales inscriptions techniques sur les longerons latéraux du châssis du wagon à deux chariots pivotants (reliés par une traverse centrale) à deux essieux du type N2, soit: “SBB-CFF”, “N2”, numéros des chariots “70101 A” et “70101 B”, ainsi que le sigle encadré “T” pour “Transit, placé à droite); ce wagon est destiné au transport de longs bois ou de marchandises d'un seul tenant et de grandes dimensions. Devant être obligatoirement placé en queue d'un train, ce wagon a été muni d'un signal de queue fonctionnel fixe, alimenté par le rail central.
.
Il me reste encore à améliorer un type de wagon “Tin-Plate 0”, soit un wagon-citerne HAG à deux essieux (amélioration de l'aspect simpliste de la rambarde de la plateforme ouverte, avec mise en place de deux barreaux verticaux intermédiaires, d'une vis de frein visible et d'une paire d'escaliers d'accès à ladite plateforme, application d'une peinture en gris-clair ou gris-argent de la bonde avec adjonction d'une bande noire centrale entourant ladite bonde et finalement fabrication et pose de plaques techniques d'immatriculation et de raison sociale, ainsi que des emblèmes de la marque choisie de carburant); une fois cela réalisé, je pense que j'aurai alors passé par tous les stades au niveau de l'amélioration raisonnée et mesurée de matériel roulant de ce genre.
.
En résumé, entré dans ma septante-quatrième année et fort heureusement encore pour l'instant en bonne santé mais, avant qu'il ne soit trop tard, par ce chapitre mais également par ce Blog-Internet tout entier, je suis tout simplement désireux de laisser “quelque chose” de tangible, faisant partie intégrante de notre patrimoine industriel helvético-européen “de loisirs du temps jadis”, patrimoine qui pourrait peut-être intéresser des ferrovipathes possesseurs, collectionneurs et exploitants de matériel roulant aux styles HO alternatif trois rails sur voie en tôle du type “M” de MAERKLIN des années 1940 à 1980 et/ou “Tin-Plate 0 normalisé” produit entre les années 1920 et la fin des années 1950.
Résumé des diverses améliorations admissibles, que j'ai appliquées sur mes voitures et wagons “Tin-Plate 0”:
.
De la même manière que dans la réalité, ceci dans le but d'atteindre une harmonisation aussi parfaite que possible entre les voitures voyageurs et les wagons de marchandises “Tin-Plate 0” de ma collection, voici en résumé ce que j'ai constaté et les améliorations qui ont nécessairement suivi, tout en veillant à respecter aussi scrupuleusement que possible le style original du wagon:
.
Sur la voiture voyageurs BUCO BC 2 8683, les chiffres 2 et 3 des classes sont intervertis (exemple: paroi latérale gauche, de gauche à droite, chiffres 2 et 3; paroi latérale parallèle, de gauche à droite, chiffres 2 et 3 en lieu et place de 3 et 2). De plus, j'ai installé une vis de frein sur une des deux plateformes ouvertes. Toutes mes voitures voyageurs ont en outre été munies de l'éclairage intérieur. Sur chacune des voitures voyageurs BUCO de ma collection, une des deux parois latérales de la caisse (depuis l'intérieur de celle-ci), est munie d'un carton blanc recouvrant la fenêtre centrale, concrétisant ainsi la présence d'un compartiment WC.
.
Adjonction des imitations de soufflets frontaux (figurant par contre sur les voitures à quatre essieux), en position rabattue sur les faces frontales, ainsi qu'une paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales à glissières du wagon-fourgon BUCO F No 8690. Ce wagon a été équipé de l'éclairage intérieur
.
Le wagon couvert allemand DRG “FYFFES” de couleur jaune, de MAERKLIN, avec vigie de garde-freins et destiné au transport des bananes, est muni d'origine d'une paire de marche-pieds d'accès aux portes latérales centrales à glissières, ce qui m'a obligé à équiper dans ce sens l'ensemble de mes wagons couverts CFF BUCO des types “K2” et “BELL” ainsi que les tombereaux “L6”. Le wagon couvert allemand “FYFFES” comporte des inscriptions techniques et de raison sociale parfaitement réalistes. Deux de mes wagons K2 ont en outre été munis d'un signal de queue fonctionnel fixe, alimenté par le rail central
.
Certains wagons de marchandises BUCO sont munis de la plateforme ouverte avec vis de frein visible ou d'une vigie de garde-freins (longueur hors tampons de 18 cm); cela m'a obligé à munir l'ensemble de mes wagons CFF et DRG/DB, équipés d'une vigie de garde-freins, d'une imitation de la colonne de frein (située entre le “nez” - emplacement de la manivelle de frein - de la vigie et le châssis) au moyen d'un câble électrique rigide et gainé de noir
.
Les inscriptions techniques de la majorité des wagons de marchandises BUCO étant réalistes, les dix-huit ranchers de mes wagons plats BUCO du type M6, en métal chromé, ont été peints à la couleur du wagon, alors que les initiales “SBB-CFF” et le numéro original BUCO (8663 pour le wagon peint en gris et 8665 pour les trois wagons à la couleur rouge-brun) ont été imprimés et appliqués par collage sur chaque rancher. Conformément à la réalité, mes wagons M6 sont tous munis d'une plateforme ouverte avec vis de frein visible d'une longueur hors tampons de 18 cm (dans la réalité, pas de wagons M6 sans passerelle ou avec vigie, donc en tout cas pas de M6 avec châssis court de 16 cm de longueur hors tampons)
.
Mes wagons-citernes CFF et FS (un wagon à deux essieux) BUCO à deux et quatre essieux, destinés aux transport des hydrocarbures et majoritairement munis de la plateforme ouverte avec vis de frein visible, sont peints à la couleur gris-argent et gris-clair au niveau de la bonde; ils ont tous reçu la bande noire centrale autour de celle-ci, de façon à qu'ils offrent un aspect conforme. En outre, un wagon-citerne ESSO a reçu une vigie de garde-freins reproduisant le style original CFF. Tous ces wagons comportent des inscriptions techniques et de raisons sociales parfaitement réalistes. Aux wagons-citernes cités ci-dessus, il faut ajouter les deux wagons à vin CFF avec bonde aux coloris blanc et bande centrale rouge de “SCHENK” à Rolle et entièrement gris-argent de “FRATELLI CORTI” à Balerna, de même que les wagons avec bonde aux teintes bleue, blanche et noire de la mention ”EMIL REINLE” de Baden-Oberstadt (hydrocarbures), ainsi que gris-anthracite et orange d'“UETIKON” (produits chimiques)
.
Le wagon-citerne ESSO à deux essieux d'ERNO étant muni de sa vigie de garde-freins originale de style particulier, j'ai maintenu celle-ci en l'état et lui ai par contre ajouté le “nez”, ainsi que la colonne de frein lui faisant suite; une paire d'escaliers d'accès BUCO à la vigie, ainsi que des inscriptions techniques et de raison sociale réalistes ont en outre été mises en place. La bonde de ce wagon a été peinte en gris-argent, alors que la bande centrale noire a été ajoutée autour de celle-ci. Ce wagon a en outre été muni d'un signal de queue fonctionnel fixe, alimenté par le rail central
.
La bonde du wagon-citerne à quatre essieux SHELL de HAG a conservé sa couleur jaune, m'obligeant par contre à immatriculer ce wagon auprès de la DB, ceci en raison du fait que la bonde des wagons-citernes CFF “SHELL” n'a JAMAIS été peinte en jaune, mais toujours en gris-argent ou gris-clair ; les deux dômes de remplissage ont été conservés et peints en noir, alors que la plateforme ouverte a reçu une paire d'escaliers d'accès de la marque MERKUR; quant à la rambarde de la plateforme ouverte, elle a été munie d'une paire supplémentaire de barreaux verticaux intérieurs et d'une vis de frein visible BUCO
.
Les deux wagons-citernes SHELL DB de FLEISCHMANN, également avec bonde de couleur jaune, ont reçu des inscriptions techniques et de raison sociales réalistes. Une paire d'escaliers BUCO d'accès à leur vigie de garde-freins, ainsi qu'une colonne de frein ont été ajoutés
.
Mes wagons mono et bi-foudres CFF BUCO sont tous munis d'une plateforme ouverte avec vis de frein visible ou d'une vigie de garde-freins parfaitement conforme au style original CFF. Les foudres sont peints en gris-clair, sauf sur un wagon, où la couleur du bois naturel a été conservée. Seuls deux wagons bi-foudres ont conservé leur châssis court de 16 cm de longueur hors-tampons, donc sans plateforme ni vigie; ils sont immatriculés auprès de la SNCF (un exemplaire avec foudres en bois naturel et l'autre avec foudres peints en gris-clair et liseré rouge sur les extrémités des faces frontales). Par contre, tous ces wagons ont reçu des inscriptions techniques et de raison sociale parfaitement réalistes.
.
Les wagons-citernes et bi-foudres BUCO originaux sont tous munis d'une paire de plaques techniques d'immatriculation (placées à gauche au-dessus de chaque côté latéral du châssis) et également d'une paire de plaques destinées à la mention de la raison sociale (placées à droite au-dessus de chaque côté latéral du châssis); la zone intérieure de ces plaques, sur laquelle apparaissent les inscriptions en question, affichent uniformément toutes les mêmes dimensions, soit une hauteur de 17 mm. et une longueur de 36 mm ; ces plaques sont encadrées d'une bordure en relief avec coins supérieurs arrondis. Les dimensions ci-dessus servent ainsi de base pour réaliser toutes les diverses plaques autres que celles produites par BUCO, ce qui demeure, entre autres, une de mes spécialités.
.
Adjonction des principales inscriptions techniques sur les longerons latéraux du châssis du wagon à deux chariots pivotants (reliés par une traverse centrale) à deux essieux du type N2, soit: “SBB-CFF”, “N2”, numéros des chariots “70101 A” et “70101 B”, ainsi que le sigle encadré “T” pour “Transit, placé à droite); ce wagon est destiné au transport de longs bois ou de marchandises d'un seul tenant et de grandes dimensions. Devant être obligatoirement placé en queue d'un train, ce wagon a été muni d'un signal de queue fonctionnel fixe, alimenté par le rail central.
.
Il me reste encore à améliorer un type de wagon “Tin-Plate 0”, soit un wagon-citerne HAG à deux essieux (amélioration de l'aspect simpliste de la rambarde de la plateforme ouverte, avec mise en place de deux barreaux verticaux intermédiaires, d'une vis de frein visible et d'une paire d'escaliers d'accès à ladite plateforme, application d'une peinture en gris-clair ou gris-argent de la bonde avec adjonction d'une bande noire centrale entourant ladite bonde et finalement fabrication et pose de plaques techniques d'immatriculation et de raison sociale, ainsi que des emblèmes de la marque choisie de carburant); une fois cela réalisé, je pense que j'aurai alors passé par tous les stades au niveau de l'amélioration raisonnée et mesurée de matériel roulant de ce genre.
.
En résumé, entré dans ma septante-quatrième année et fort heureusement encore pour l'instant en bonne santé mais, avant qu'il ne soit trop tard, par ce chapitre mais également par ce Blog-Internet tout entier, je suis tout simplement désireux de laisser “quelque chose” de tangible, faisant partie intégrante de notre patrimoine industriel helvético-européen “de loisirs du temps jadis”, patrimoine qui pourrait peut-être intéresser des ferrovipathes possesseurs, collectionneurs et exploitants de matériel roulant aux styles HO alternatif trois rails sur voie en tôle du type “M” de MAERKLIN des années 1940 à 1980 et/ou “Tin-Plate 0 normalisé” produit entre les années 1920 et la fin des années 1950.