Préserver à tout prix notre identité helvético-européenne, telle est ma devise !
Préambule :
Mon souci prioritaire demeure «urbi et orbi ad aeternam vitam» la préservation de l'identité environnementale, humaniste et culturelle séculaire de notre patrie helvétique et de notre chère Vieille Europe, dont la période faste et irremplaçable s'étend de la Renaissance à l'Entre-Deux-Guerres des années 1919 à 1939 (paysages légendaires, identité nationale fortement affirmée, express Pullman de luxe à la classe à nulle autre pareille et sillonnant les merveilleux espaces européens encore intacts, automobiles rivalisant d'élégance, Art-Déco sous toutes ses formes, toutes plus belles les unes que les autres, etc.).
Que ce soit aux niveaux de la littérature, de la peinture et du dessin figuratifs, de la photographie, de la sculpture, de l'architecture ("Heimatstil" ou grandiloquence classique), de l'embellissement des produits industriels en tous genres et de la musique (dont toute dissonance demeure exclue), seuls entrent en considération le respect et l'application d'une harmonie aussi parfaite que possible; précisément, au sujet de la musique, rien ni personne ne remplacera André Rieu, le plus grand musicien de tous les temps, authentique et irremplaçable représentant de notre vénérée Vieille-Europe !
La préservation et la mise en valeur de sites naturels et des réalisations exécutées par l'homme, où l'esthétique s'allie à la perfection avec son environnement, m'obligent à combattre, avec un acharnement absolu, toute intrusion d'éléments provenant de l'« art » contemporain ou, comme on le dit aujourd'hui, le « design » (mon Dieu, quel horrible terme, qui pue à plein nez l'absence totale de dimension humaine, la suffisance, la froideur, voire l'agressivité) ! En effet, lorsque je me trouve en un endroit idyllique romantico-bucolico-mélancolico-nostalgique, mais d'où surgit tout à coup du coin du bois un bloc de béton ou une autre élucubration psychédélique contemporaine, me voilà subitement plongé dans une profonde tristesse, car fortement blessé par la rupture d'harmonie que l'on m'inflige !
Mon choix au niveau du modélisme ferroviaire :
Plaidoyer pour la voie en tôle du type "M" de Märklin:
Ce qui me frappe et me désole à la fois aujourd'hui, c'est le silence effrayant produit par le roulement des trains modèles contemporains (sorte de chuintement aseptisé en lieu et place de l'authentique et éternel langage ferroviaire). Personnellement, à l'échelle HO, je ne jure plus que par la légendaire voie du type "M" de Märklin, qui n'est plus produite de nos jours mais qui demeure la seule et unique voie permettant la reproduction fidèle d'un train en pleine marche, musique universelle, comprise et vénérée par les ferrovipathes dignes de ce nom !
Toutefois, pour des raisons évidentes d'accès et de place, ce chemin de fer modèle d'intérieur et musée vivant ne peut pas être ouvert au public.
RECOMMANDATION: Quatre sites à ne pas manquer de visiter, soit: http://www.notrehistoire.ch/group/trains-de-suisse/, http://www.sbbhistoric.ch., http://www.trains-miniatures.ch, http://www.galleriabaumgartner.ch, http://www.blechundguss.ch, Sonstiges HO/00 RE: Alte Hag Modelle, RE; Gustiure de Hag-ho-2-et-3-rails-Accueil, etc., etc.
A ce sujet, je tiens à relever tout particulièrement que le site de Montana en Valais constitue ce qu'il y a de plus parfait à ce niveau sur la totalité du territoire de la Suisse romande !
Bien amicalement à vous tous, chers (ères) amis et amies ferrovipathes.
Michel POUSAZ, Chemin du Criblet 5, Villy, CH-1867 Ollon VD, tél. 024.499.19.07;
e-mail: michel.pousaz@bluewin.ch