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vieille-europe

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Création : 26/08/2009 à 17:45 Mise à jour : Hier à 18:41

Video HO Märklin-Anlage 1950-1970 - Un record en matière de modélisme ferroviaire

Les fameux wagons-citernes Märklin HO du type « 4500/4900 »,
aux 41 logos différents de marques de carburant !
 
 
Au cours de mon existence de modéliste ferroviaire, j'ai découvert que les anciens wagons Märklin DB du type « Deutz » à deux essieux, de la série 4500 (ARAL), 4501 (ESSO), 4502 (SHELL) et 4900 (BP livrés sous forme de boîtes à construire), produits entre 1952 et 1976, se prêtent particulièrement bien à quelques améliorations et créations nouvelles.
 
Actuellement, ces anciens wagons se font de plus en plus rares, surtout en bon état !
 
Qu'à cela ne tienne !  A partir d'un wagon 4500, 4501, 4502 ou 4900, j'ai produit à ce jour 40 logos différents de marques de carburant. En outre, si les plaques d'immatriculation, ainsi que les codes de freinage (trois barres horizontales noires encadrées et collées aux quatre angles de la bonde) sont endommagées, j'ai prévu leur remise en état par application de pièces imprimées en tous points conformes à l'original.
 
En effet, si l'on étudie l'histoire du modélisme ferroviaire d'une manière approfondie, force est de constater, qu'à n'importe quelle échelle que ce soit, aucun wagon-citerne d'un même type bien défini n'a bénéficié d'un si grand nombre de marques différentes ; ma réalisation s'avère donc être une cas absolument unique au sein de l'aventure du modélisme ferroviaire. Par contre, il est évident, qu'en additionnant la totalité des différents types de modèles de wagons-citernes, produits jusqu'à ce jour par les différentes marques mondiales, il est possible que ce résultat de plus de 40 logos différents soit atteint, voire même dépassé !
 
Aisément démontables (cependant avec quelques précautions), car sans risque de détérioration de certains équipements plus fragiles mais toutefois en métal (passerelles, échelles, escaliers, etc), ces anciens wagons Märklin reçoivent en plus la fameuse bande noire centrale, ceci à titre de réalisation personnalisée. Dans la réalité, cette bande noire permet de diminuer l'impact des coulures inévitables du carburant, notamment lors des opérations de remplissage de la citerne. En ce qui me concerne, un wagon-citerne, sans bande noire et bien que cela existe également dans la réalité, me paraît toutefois esthétiquement comme quelque peu minimaliste !  La non application de la bande noire centrale peut se justifier lorsque le logo d'une marque de carburant nécessite une grande surface pour son application sur un wagon à deux essieux (par exemple les anciens logos "GASOLIN" et "LEUNA" avec lettres ombrées), qui utilisent la presque totalité de la longueur de la bonde du wagon-citerne.
 
Par contre, une des particularités fort intéressantes de ces wagons-citernes Märklin réside dans le fait que les deux plaques rectangulaires noires d'immatriculation (placées à gauche de chacun des deux côtés latéraux du châssis) portent toutes la même désignation originale « DB 598210 P – Benzin/Diesel ». Par chance, le nom de la marque de carburant ne figure pas sur les plaques d'immatriculation en question, ce qui me permet, d'une part, de respecter au pied de la lettre la déontologie Märklin de l'époque mais, d'autre part, de réaliser un grand nombre de logos différents des marques de carburant, qui n'ont jamais été produites sur ces wagons, d'où augmentation optimale de l'intérêt porté à ceux-ci par suite de leur très grande variété.
 
En effet, que rêver de plus majestueux qu'un long train de plus de quarante wagons-citernes à deux essieux, identiques dans leur aspect, mais affichant chacun son logo unique, alors qu'une impérialissime « Crocodile » Märklin Ce 6/8 III CCS 800/3015 remorque son convoi avec élégance, convoi se terminant par son bouleversant « Spoutnik Db 10312 » Swisstoys de la première génération, wagon de queue d'où se dégage une profonde nostalgie et qui est muni du légendaire feu de fin de convoi parfaitement fonctionnel ?
 
L'expérience m'a enseigné que les wagons 4500, 4501 et 4900 (bonde de couleur grise), conviennent logiquement mieux pour l'application d'une nouvelle marque de carburant, car il n'est pas nécessaire d'enlever la couleur jaune de fond du wagon 4502 (SHELL) ou blanche avec bande horizontale rouge du wagon ESSO de la dernière génération de cette série de wagons 4500.
 
A titre d'information complémentaire, les premières séries de ces wagons Märklin ne comportaient pas de plaque rectangulaire d'immatriculation, mais une simple plaque carrée, reproduisant le grillage de protection du logement prévu pour les feuilles de route, ainsi que les lignes blanches pour l'inscription de l'itinéraire du wagon ; l'immatriculation (DB 599304 - P) figurait en relief sur la bonde, au-dessus de la plaque carrée en question.
 
Les wagons Märklin 4500/4900 reproduisent des wagons-citernes DB du type « Deutz », mis en service entre les années 1950 et 1960 ; cela implique que les logos des différentes marques de carburant doivent exactement correspondre à ceux utilisés il y a cinquante à plus de soixante ans en arrière. Ainsi, à titre d'exemple concret, l'actuel logo « BP » (en forme de fleur) ne peut en aucun cas être utilisé sur ce type de wagon ; seul doit être utilisé le logo vert en forme d'écusson (encadré ou non d'un filet de couleur jaune-or), portant à l'intérieur les lettres majuscules « BP », également de couleur jaune ou jaune-or.
 
En date du 22 février 2012, neuf wagons supplémentaires, avec neuf logos différents, ont été mis en service; en outre, comme cela a également existé dans la réalité, six wagons ont encore été réalisés, entièrement peints en noir-mat et qui portent les marques de carburant les plus représentées sur les modèles de wagons-citernes, logos aux couleurs vives et fort contrastées par rapport à la couleur de la robe de la bonde du wagon lui-même, soit: AGIP, ARAL, AVIA, BP, ESSO et SHELL. Ces ultimes wagons, sous forme de deux rames, sont donc présentés ci-après; sauf surprise de dernière minute (découverte d'une marque ne figurant pas encore dans ma collection), ma réalisation de wagons-citernes est donc sensée être terminée; mission accomplie !
 
Par contre, sur les modèles actuels, super-détaillés mais très fragiles par suite de la présence d'éléments très (trop) fins, de surcroît en plastique, il est beaucoup plus risqué d'intervenir sur ces véhicules.
 
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#Posté le dimanche 11 décembre 2011 14:17

Modifié le mardi 30 juin 2015 08:26

Toujours à la recherche de nouvelles émotions !

Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !Toujours à la recherche de nouvelles émotions !
A l'affût d'un jeu d'ombres et de lumières, d'ambiances à la fois particulières et émouvantes, mon modeste chemin de fer modèle d'intérieur s'avère devenir mon meilleur maître à penser au niveau ferroviaire, car il me permet de réaliser mes fantasmes les plus fous au niveau de la Vie du Rail, cependant toujours exclusivement basés sur une réalité intensivement vécue, mais hélas disparue; toutefois, il n'est pas question que je vive égoïstement ces instants bénis, mais bien au contraîre, que je les partage totalement avec vous tous, chers amis ferrovipathes !
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#Posté le mercredi 14 décembre 2011 13:04

Modifié le mercredi 14 mars 2012 18:28

Adjonction de la première et de la troisième classes dans le trafic voyageurs

Dès le mois de novembre 2011, j'ai introduit la première classe sur certaines voitures voyageurs de mon réseau, à savoir:
 
- une voiture lourde italienne du trafic international (B4ü transformée en A4ü), de Märklin
- une voiture légère suisse du trafic intérieur (B4ü transformée en A4ü), de Märklin
- une voiture légère suisse du trafic intérieur (B4ü transformée en AB4ü), de Märklin
- une voiture à deux essieux, à plate-formes ouvertes, originalement du type AB, de BUCO.
 
La transformation s'est opérée de la manière suivante:
 
- Adjonction de bandes jaunes de 2 mm sur les flancs latéraux, sur l'espace situé entre la toiture et la partie supérieure des baies vitrées (sur les voitures légères suisses, au-dessus des cadres des portes d'accès, l'épaisseur de la bande jaune est diminuée d'un demi-millimètre).
 
- Couverture du chiffre original "2" par le chiffre "1", dont l'aspect est rigoureusement semblable.
 
La confection des bandes jaunes, ainsi que des chiffres, s'est effectuée au moyen du PC, en utilisant le programme "Excel".
 
Par contre, dans le but de former une rame omnibus aussi parfaite que possible (un fourgon postal, une voiture de première/deuxième classes, une voiture de deuxième classe et une voiture de troisième classe), une des voitures à deux essieux du type B a été modifiée en type C, par couverture du chiffre original "2" par le chiffre "3".
 
Ainsi accompli, mon chemin de fer modèle d'intérieur se présente sous un aspect encore plus réaliste !
Adjonction de la première et de la troisième classes dans le trafic voyageursAdjonction de la première et de la troisième classes dans le trafic voyageursAdjonction de la première et de la troisième classes dans le trafic voyageursAdjonction de la première et de la troisième classes dans le trafic voyageurs
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#Posté le dimanche 25 décembre 2011 11:25

Modifié le lundi 26 décembre 2011 10:08

La lente agonie de l'âge d'or de la voie normale ferroviaire helvétique

Tout d'abord, qu'est-ce que "l'Age d'Or" en matière de chemin de fer européen ?
 
De par les nombreuses discussions sur le terrain et les diverses publications ferroviaires, les ferrovipathes de haut niveau et autres "maîtres à penser" s'accordent pour admettre que l'âge d'or du Rail européen se situe aux alentours des années 1950-1970, car c'est durant cette période que le chemin de fer présentait encore une palette complète de ses divers éléments quotidiennement et simultanément visibles (bâtiments d'époque en parfaite osmose avec leur environnement naturel, installations fixes, signalisation et matériel roulant) mis en service entre le début du vingtième siècle et la double décennie citée ci-dessus. N'oublions pas les impérialissimes cloches de gare, qui équipaient jadis les gares, stations, haltes, postes de block, d'aiguillages, de garde-voies et de garde-barrières, dont le tintement joyeux (cloches du type PLM) ou éminement nostalgique (cloches du type Saint-Gothard) plongeait chacun de nous dans une sorte de nirvana par essence indéfinissable !  En outre, à titre d'exemple au tout début des années 1960, au niveau des locomotives à vapeur CFF et bien qu'une grande quantité de celles-ci ait déjà disparu, il en restait encore suffisamment pour que chaque série soit dûment représentée, soit (hormis les B 3/4 1600-1700 et Eb 2/4 5400, datant encore du temps de la Compagnie du Jura-Simplon, ainsi que les A 3/5 600 vendues à la Hollande): A 3/5 700, B 3/4 1300, C 4/5 2700, C 5/6 2900, Eb 3/5 5800, Ec 3/4 6500, Ec 3/5 6600, ainsi que les locs de manoeuvre E 4/4 8800-8900 et E 3/3 8400-8500.

Il en était de même pour les compagnies bernoises BLS-BN-GBS-SEZ, dont la palette des machines s'étendait de la Ce 6/6 121 de 1910 aux premières Ae 4/4 II 261 et suivantes de 1964-1965, sans omettre de mentionner les deux dernières machines à vapeur, les célébrissimes locomotives-tender Ec 4/6 No 61 et 62, qui figuraient parmi les plus belles locomotives à vapeur helvétiques, hélas jetées à la ferraille sans ménagement par des technocrates (privés de la culture classico-européenne la plus élémentaire, déshumanisés et prétentieux); il est à relever que ces Ec 4/6 ont tout de même servi de modèle pour les locomotives-tender françaises 141-TA, désignées par "Cul-de-bateau", qui ont notamment circulé à la perfection sur la ligne au dur profil des Causses; d'ailleurs, toujours au sujet de ces deux Ec 4/6, la dernière d'entre-elles, la 62, disparut en 1966, alors que ses deux ultimes serviteurs, les mécaniciens BLS Beer et Perret, sont demeurés incapables d'en faire le deuil  et sont morts de chagrin ! 
 
Bien évidemment, ce même âge d'or se retrouvait sur l'ensemble des compagnies ferroviaires suisses, qu'elles soient à voies normale, métrique ou encore étroite.

Mis à part l'importante quantité de matériel roulant conservé par les CFF et les entreprises ferroviaires privées, ainsi que par les diverses associations et musées de matériel historique, en ne se bornant toutefois qu'aux CFF à titre d'exemple, le début de la fin de l'âge d'or date précisément du 17 mars 1963, jour où la locomotive électrique Be 4/6 12301 (premier prototype) mourrait d'un incendie en gare de Renens. En 1964, ce fut le tour du prototype Ae 4/8 11300 et, dès 1965 (début de la mise au rebut régulière des différents vétérans CFF), les deux premières Be 4/6 12302 (deuxième prototype) et 12312 rendaient l'âme; le prototype Be 3/5 12201 suit en 1966. Ainsi, une à une, nos anciennes locomotives électriques (conjointement avec la dernière locomotive à vapeur encore à l'inventaire des machines en service régulier, la C 5/6 2969 du dépôt d'Erstfeld jusqu'au 30 novembre 1968), nous quittèrent; cependant, cette lente agonie s'étendit sur plus de 40 ans (jusqu'au cours de la première décennie 2000 pour les Ae 6/6 arborant les écussons cantonaux. En résumé, les différentes périodes funèbres furent les suivantes: avant 1980 = Ae 8/14 11852 (la célèbre "Landilok" de 1939, la plus puissante locomotive du monde en son temps et actuellement exposée au Musée des Transports de Lucerne), mise au rebut en raison de son incendie de 1972 dans le Tunnel du Saint-Gothard à sa sortie à Airolo, ainsi que 11851 de 1931, qui a subi une horrible défiguration (un retentissant échec esthétique) au début des années 1960, par la suppression de ses légendaires visages "à la Ae 4/7" et leur remplacement par des têtes d'Ae 6/6 semblables aux machines de la série 11426 à 11520; 1982 = fin de la traction électrique à transmission par bielles pour le service de ligne (Be 4/6, Ce-Be 6/8 II et III, Ae 3/6 II, et enfin De 6/6; début des années 1980 = disparition des locomotives "Sécheron" Ae 3/5, Ae 3/6 III et Be 4/7, ainsi que les élégantes Ae 4/6 du Saint-Gothard (première série "aérodynamique", de surcroît à la musique électro-mécanique à nulle autre pareille, grâce au chant des moteurs de traction et des nombreux engrenages, qui était tout simplement digne d'une voix d'opéra); 1990 = fin des "Büchli" Ae 3/6 I; 1996 = les célébrissimes Ae 4/7, notamment en unités multiples en tête de lourds convois de marchandises sillonnant le territoire helvétique, prennent congé de la scène ferroviaire; 1997 = nos élégantes Re 4/4 I cessent toute activité au sein des CFF; et enfin durant la première décennie après l'An 2000 = fin des merveilleuses Ae 6/6 aux légendaires bandes chromées, de la série 11401 à 11425. Et voilà que maintenant, les ultimes locomotives électriques encore intéressantes du temps jadis (principalement en raison de leur émouvant chant produit par leur transmission à bielles, le fameux "yam-yam-yam-yam-yam"), les fameuses machines de manoeuvre  Ee 3/3 de la série 16331...16460 (mises en service en plusieurs lots entre 1930 et 1966), disparaissent rapidement de nos gares; les prototypes Ee 3/4 16301 et 16302 de 1923, ainsi que la première série des Ee 3/3 de la série 16311 à 16326, désignées par "fer à repasser" (en raison de leur cabine de conduite placée à une extrémité et précédant un long capot unique), mises en service en 1928, nous ont quitté il y quelques années déjà. Cependant, mis à part les 16301 et 16302, fort heureusement, quelques "fer à repasser" et Ee 3/3 "normales" ont été sauvées du chalumeau et demeureront donc toujours parmi nous !
 
Toujours au sujet de ces Ee 3/3 de la série 16331...16460, lors d'une exposition ferroviaire franco-suisse en gare de Vallorbe, il y a de cela bien des années, en admirant la Ee 3/3 de service dans cette gare, un ferrovipathe français déclara: "Ces machines de manoeuvre sont un compromis entre la "Boîte à sel" et la "Crocodile"; à mon avis, il s'agit là de la meilleure définition qui soit !
 
Comme on peut aisément le constater ci-dessus, cet âge d'or du Rail s'est principalement étendu jusqu'à la fin des années 1960, mais a cependant pu se prolonger jusque vers les années 1980, voire même les années 1990 et première décennie des années 2000, suivant les pays et les régions, dont précisément la Suisse; par contre, la vie ferroviaire quotidienne, de la fin du 20ème au début du 21ème siècle, se présente désormais sous une fade aseptisation, une uniformisation ennuyeuse, une effrayante banalité !  Oui, je l'affirme haut et fort, le chemin de fer européen contemporain relève, à mon avis strictement personnel, tout simplement d'une triste régression, bien évidemment ceci par rapport à ce que le Rail de jadis nous procurait jour après jour, que ce soit au niveau de l'élégance esthétique des bâtiments, de l'aspect soigné allié à la technologie électro-mécanique hyper-fiable appliquée pour le fonctionnement des installations fixes, de la signalisation et du matériel roulant, etc. Malgré cette morne modernité, avec de la bonne volonté, voire de la détermination, il est toujours possible, pour nous les vieux et privilégiés dinosaures du Rail, de continuer à diriger notre  vie sur une voie positive; puissent désormais les quelques nouvelles photographies évocatrices, prises sur mon modeste réseau et  faisant suite à ce chapitre, vous plonger dans un monde merveilleux et idyllique, tellement différent de celui que l'on vit aujourd'hui !
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#Posté le jeudi 29 décembre 2011 17:29

Modifié le mercredi 11 janvier 2012 13:20

L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)

L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)L'Age d'Or, c'était tout simplement cela (1ère partie)
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#Posté le dimanche 01 janvier 2012 11:23

Modifié le samedi 10 mars 2012 18:51

L'Age d'Or (2ème partie)

L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)L'Age d'Or (2ème partie)
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#Posté le dimanche 01 janvier 2012 11:32

Modifié le samedi 03 mars 2012 08:17

L'Age d'Or (3ème partie)

L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)L'Age d'Or (3ème partie)
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#Posté le lundi 02 janvier 2012 11:19

Modifié le lundi 02 janvier 2012 12:32

Et maitenant, qu'en est-il aujourd'hui ?

Au niveau suisse, si l'on examine la situation actuelle, il est aisé de constater que, fort heureusement, il existe un grand nombre d'associations et de musées (vivants et statiques) relatifs à la conservation du matériel roulant des chemins de fer helvétiques du temps jadis, et ceci aussi bien en faveur de la voie normale (SBB-Historic, BLS-Historic, Swisstrain, Dampfverein Zürcher-Oberland, etc.), que des voies métrique et étroite (Blonay - Chamby, RhB-Historic, trains à vapeur et électriques anciens, en service sur diverses compagnies privées, trams urbains, Musée Suisse des Transports de Lucerne, poste d'aiguillages de Kerzers, etc.).
.
Par contre, si le matériel roulant historique existe à profusion, trois éléments typiques du vrai chemin de fer ont pratiquement totalement disparu; je veux parler des cheminots habillés de l'uniforme helvétique traditionnel (coiffés de l'attachante casquette à un, deux, ou trois gallons blancs ou jaunes, ou encore de la couronne de lauriers jaune pour les chefs de gare), des aiguillages avec leur inséparable lanterne pivotante et signaux mécaniques (sémaphores et disques), ainsi que des cloches de gare, que l'on entend plus résonner par monts et vaux, sons qui me plongeaient dans plus totale des félicités; ces trois éléments, bien qu'ils ne s'accordent plus du tout avec le chemin de fer contemporain, me manquent toutefois horriblement, et j'en souffre, tout particulièrement le bouleversant et nostalgique tintement des cloches de gare; cependant, grâce à Internet, il m'est possible de réentendre à nouveau ce message subliminal à nul autre pareil, message digne des plus beaux discours que le plus brillant des orateurs soit capable de déclamer (le tintement à deux tons de la vidéo ci-dessous en est la preuve la plus déchirante) !  Quant au troisième document ci-dessous, ce sémaphore d'entrée, accompagné de son disque avancé de sortie, nous offre également une courte musique mécanique du plus bel effet (par contre, séquence trop longue, alors que le train passant ne correspond hélas pas du tout à l'harmonie des lieux (ligne sans caténaire parmi les bois aux couleurs automnales); c'est un convoi remorqué par une locomotive à vapeur qui aurait dû honorer ce signal !
 
Les années 1970-1980:
 
Ce sont précisément les années 1970-1980 qui demeureront les pionnières quant au développement des expositions ferroviaires réelles, des chemins de fer-muséo-touristiques et autres salons du modélisme, tels qu'ils apparaissent actuellement. Antérieurement à cette période, ce genre de loisir demeurait fort modeste et n'était pas encore vraiment entré dans les moeurs des amoureux des trains, le distingué et envié terme de "ferrovipathe" n'existant encore pas; à cette époque, chaque amateur ferroviaire se rendait encore régulièrement dans la gare la plus proche pour "voir passer les trains" et, sitôt de retour à son domicile, actionnait avec enthousiasme son "train électrique bien aimé", ce bonheur tout simple lui suffisant amplement.
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Ce sont ces manifestations ferroviaires d'il y a trente à quarante ans, ouvertes au grand public, qui ont, entre autres, permis aux amateurs d'entrer en contact avec les cheminots actifs et retraités ayant encore intensément vécu la vapeur et les premières locomotives électriques, un monde du Rail chargé d'émouvants souvenirs, que ces anciens se plaisaient à se remémorer et à transmettre aux jeunes que nous étions alors; ces cheminots du temps jadis étaient, eux-mêmes en majorité, passionnés par le modélisme. Oh, instants merveilleux et bénis, à tout jamais enfuis !  Aujourd'hui, au 21ème siècle, ces retraités de l'époque sont majoritairement décédés, alors que les actifs d'il y a 30 à 40 ans sont devenus de grand vieillards.
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Et nous, les ferrovipathes de la génération d'après-guerre/début des années 1960, que sommes-nous devenus ?  A notre tour de vieux dinosaures, que nos souvenirs, vécus par nous-mêmes et enregistrés auprès des anciens, n'intéressent plus guère les amateurs ferroviaires d'aujourd'hui, tellement le chemin de fer a changé, en se façonnant un visage qui nous est, hélas, devenu totalement étranger, alors que, de surcroît, les jeux vidéos contemporains absorbent la majeure partie du temps libre des jeunes !
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En date du 1er mai 1968, j'entrai au service de la Compagnie de Chemin de fer Montreux - Oberland Bernois (actuellement "Goldenpass"), en qualité d'employé d'administration; à la fin décembre 2012, je cesserai toute activité professionnelle.
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Par contre, au niveau de l'amateurisme ferroviaire, je me considère déjà comme un retraité; dès lors, nous les témoins du chemin de fer authentique, sachons rentrer dans le rang et, tant que la santé nous le permettra, vivre encore et toujours intensivement nos souvenirs avec des proches aux idéaux semblables aux nôtres... et finalement laisser notre place aux nouveaux amateurs ferroviaires, qui auront grandi avec l'électronique et l'informatique, technologies de pointe offrant mille possibilités d'exploitation ferroviaire et passionnant au plus haut point les ferrovipathes contemporains.
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En me remémorant ces instants privilégiés parmi ces cheminots d'antan, je ne puis que constater que, par contre, l'homme du Rail d'aujourd'hui n'aura plus la possibilité de transmettre des souvenirs dignes de ce nom à ses descendants car, les "fusées aérodynamiques sur roues, de surcroît au bec de canard", alliées à la commande électronique centralisée des installations de sécurité, n'ont tout simplement plus rien d'édifiant à nous offrir, nous qui nous nous berçons dans la mécanique et l'électrotechnique les plus pures (actuellement, ce ne sont plus rien d'autre que des leds qui clignotent sur des tableaux ou des écrans, tout cela dans un silence assourdissant) !
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Sincèrement, imaginez-vous un conducteur de TGV ou de Re 460 parler, avec des trémolos dans la voix et les yeux rougis par l'émotion, sur sa profession; il aurait tout simplement l'air ridicule ! C'est, dès lors, devenu incontournable, le noble et fier cheminot du temps jadis s'est mué en un simple opérateur assis devant son clavier ou ses "joy-sticks", comme le sont des miliers d'autres employés de bureau ou de manipulateurs d'engins de toutes catégories confondues ! Est-ce vraiment ce que l'on peut désigner par "chemin de fer de rêve" ?  Non, le chemin de fer contemporain ne peut désormais se nommer que par "chemin de fer design".
 
Et maitenant, qu'en est-il aujourd'hui ?
 
  

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#Posté le mardi 03 janvier 2012 18:41

Modifié le lundi 20 avril 2015 20:39

Nouveautés 2012

Chers Amis et Amies ferrovipathes,
 
Que l'aventure du Rail helvético-européen authentique continue !
 
Ainsi, au fur et à mesure que de nouveaux événements ferroviaires, dignes d'intérêt et auxquels j'aurai participé, qu'il s'agisse du chemin de fer réel du souvenir et/ou de son petit frère le bien nommé modélisme, je me ferai le plaisir de vous les communiquer ci-après, que ce soit sous forme de textes, de photographies ou encore de vidéos.
 
Pour commencer cette nouvelle année, après la "saga" des wagons-citernes allemands d'une quarantaine de logos différents, j'ai choisi le Rail français en majorité, ainsi que le Sud de l'Allemagne, sous la forme de rames de wagons bi-foudres, car ceux-ci figuraient indiscutablement parmi les plus beaux spécimens de cette "race" particulière de wagons marchandises, véritables meubles de style et oeuvres d'art sur rails, authentiques papes des wagons marchandises, de surcroît à l'aspect dégageant un humanisme bouleversant. Le style des raisons sociales des négociants en vins (choix des caractères, coloris et graphisme) se présentait sous une élégance à nulle autre pareille (diamétralement opposée au "design" contemporain); ce sont donc ces arguments qui m'ont incité à réaliser ces quelques wagons du temps jadis (aujourd'hui totalement disparus de la vie ferroviaire quotidienne), en utilisant le modèle Märklin "Bordeaux",  (numéro de catalogue 308 jusqu'au milieu des années 1950, puis 4510 dans les années suivantes) de surcroît véhicule très aisé à améliorer esthétiquement.  Le numéro 308 concernait les wagons-foudres encore munis des axes  au diamètre unique et tournant dans des boîtes d'essieux fermées sur la partie supérieure et ouvertes sur la partie inférieure, permettant ainsi le graissage périodique. Les axes des wagons de la série 300 étaient désignés par "Stummelachsen", alors que le numéro 4510, ainsi que tous les autres de la série 4500 et 4900 concernaient les wagons dont les fusées d'essieux étaient visibles et amincies par rapport à l'axe et désignées par "Nagelachsen". Cependant, il existait également des wagons numérotés 308, mais déjà équipés des essieux "Nagelachsen", la renumérotation 4510 ayant été réalisée un peu plus tard.
 
Au niveau des modifications à apporter, la seule "difficulté" réside dans l'éloignement des foudres, si l'on veut appliquer une couleur autre que celle d'origine (proche du bois naturel); en effet, il s'agit de meuler les quatre "rivets" (ou tétons) en plastique, placés sous chaque foudre et débordant sur la face intérieure du châssis du wagon. Une fois les deux foudres munis de leur nouvelle couleur, replacer ceux-ci correctement sur le châssis, à l'aide d'une colle efficace et le tour est joué (veiller à ne pas endommager les diverses ferrures de maintien, ainsi que les échelles transversales).
 
Par contre, au sujet des plaques d'immatriculation, pour des raisons de respect de l'étique Märklin, les numéros d'origine (308 et 4510), ainsi que le graphisme, sont repris, mais au même format que celui appliqué sur les wagons-citernes des séries 4500 avec grandes plaques (deuxième série), car les plaques d'origine du wagon "Bordeaux" me paraissent quelque peu minimalistes, voire insignifiantes, par rapport au volume du wagon. Actuellement, deux de mes wagons bi-foudres ont reçu une passerelle ; cela implique l'utilisation du wagon à poussier de charbon (No 4511). En effet, l'intelligence de Märklin de l'époque résidait dans le fait que les châssis de ces wagons du type 4500/4900 étaient tous identiques et comportaient différents orifices, permettant la fixation des différents aménagements supérieurs des wagons ; ainsi, une fois les deux conteneurs de poussier, les deux échelles centrales d'accès au faîte des deux conteneurs et la tôle de base éloignés, il suffit alors d'installer la tôle de base du wagon bi-foudres, qui comporte en outre les plaques d'immatriculation placées à gauche de chacune des deux longueurs. La tôle de base du wagon bi-foudres doit, par contre être raccourcie d'un centimètre sur un côté, afin de laisser la place pour les escaliers d'accès à la passerelle du wagon, escaliers à coller sur le châssis ; cette tôle de base étant extrêmement fine, elle peut se découper sans difficulté au ciseau. Une fois la tôle raccourcie, meuler la partie découpée, puis l'ajuster et la coller sur le châssis du wagon 4511, de façon à ce que les orifices de la tôle de base correspondent exactement aux orifices du châssis du wagon ; lorsque la colle a bien pris, poser délicatement les deux foudres avec leurs échelles centrales sur la tôle de base, coller le tout, rabattre l'extrémité de chacune des deux échelles centrales sous le châssis... et le tour est joué.
 
Relevons encore que les wagons bi-foudres allemands étaient presque identiques aux véhicules français, particulièrement en ce qui concerne la disposition des raisons sociales des négociants en vins. Par contre, sur certains de ces wagons DR/DB, au niveau des échelles transversales, des marche-pieds d'accès au faîte des foudres et des diverses rambardes de protection, des différences de conception apparaissaient.
 
D'autre part, dans la réalité, les foudres de certains de ces wagons se présentaient en chêne naturel (tel le "Jules Magail & Cie" de la Cité du Train de Mulhouse), alors que d'autres étaient peints de différentes couleurs, mais majoritairement en gris avec cercles et ferrures de maintien en noir du plus bel effet !
 
Au niveau des échelles transversales centrales d'accès au faîte des deux foudres, il faut relever que certains de ces wagons comportaient soit une, soit les deux échelles.
 
D'autre part, certains de ces véhicules ne comportaient pas de passerelle, ni de vigie de garde-freins (ce qui est le cas du modèle Märklin 308/4510 "Bordeaux", ainsi que, par exemple, du wagon réel "Jules Magail & Cie", authentique chef-d'oeuvre esthétique exposé à la Cité du Train à Mulhouse), alors que d'autres en étaient munis; certaines de ces vigies étaient recouvertes d'un toit incliné à un pan (assez semblables aux wagons allemands et italiens de l'époque), d'autres d'une toiture bombée, très proche du style suisse.
 
Ainsi, grâce aux nombreuses particularités technico-esthétiques décrites ci-dessus, chaque modéliste est libre d'équiper ou non ses wagons de l'un ou de l'autre de ces attributs, sans grands risques de sombrer dans la fantaisie car, au sein d'une seule et même entreprise de négociant en vins, il était aisé de constater que les wagons-foudres du propriétaire ne constituaient pas une série rigoureusement unifiée au détail près mais, au contraire, se présentaient souvent sous des aspects différents, car livrés par les constructeurs en plusieurs lots répartis sur une période plus ou moins longue. 
 
Lorsque les rames des wagons bi-foudres seront terminées (une vingtaine de véhicules en chiffres ronds), des photographies, ainsi que des vidéos (entre autres, train de marchandises typiquement français, comme on ne peut que les vénérer) seront insérées en temps opportun dans ce blog.
 
Donc, à très bientôt !
 
 
Votre dévoué: Michel POUSAZ
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#Posté le jeudi 05 janvier 2012 10:31

Modifié le jeudi 01 mars 2012 18:19

Voici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventure

Voici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventureVoici mes premiers wagons bi-foudres; avançons donc dans cette nouvelle aventure
 
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#Posté le dimanche 08 janvier 2012 14:04

Modifié le mercredi 28 mars 2012 17:44

Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !

Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !Des trains de marchandises SNCF authentiques, comme on ne peut que profondément les vénérer !
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#Posté le mardi 10 janvier 2012 20:34

Modifié le lundi 25 juin 2012 19:57

Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012

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Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012Un train Belle-Epoque Bern - Kandersteg, le 22 janvier 2012
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#Posté le mercredi 25 janvier 2012 17:42

Modifié le samedi 03 mars 2012 08:07

Adjonction de détails importants, mais manquants

Curieusement, il peut arriver que des wagons marchandises soient munis d'une passerelle ou d'une vigie de garde-freins alors que, par contre, les escaliers d'accès soient manquants. Pour remédier à cette lacune, j'ai équipé quelques-uns de mes wagons marchandises, dont les escaliers n'avaient pas été montés par leur constructeur. Les escaliers proviennent tous de wagons Märklin 4500/4900 en mauvais état, mais dont j'ai pu conserver leurs escaliers. Dans le cas des wagons-citernes italiens, dont la vigie est placée à l'extrémité de la passerelle, bien évidemment, seul un escalier (sur le côté opposé) a pu donc être monté.
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Adjonction de détails importants, mais manquantsAdjonction de détails importants, mais manquantsAdjonction de détails importants, mais manquantsAdjonction de détails importants, mais manquantsAdjonction de détails importants, mais manquantsAdjonction de détails importants, mais manquants
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#Posté le vendredi 02 mars 2012 10:55

Modifié le lundi 20 avril 2015 20:36

Que la Lumière soit... et la Lumière fut !

Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !Que la Lumière soit... et la Lumière fut !
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#Posté le samedi 03 mars 2012 07:46

Modifié le samedi 03 mars 2012 08:11

Continuons sur cette lancée !

Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !Continuons sur cette lancée !
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#Posté le samedi 03 mars 2012 08:33

Modifié le samedi 10 mars 2012 18:53

Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !

Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !Encore et toujours de nouvelles petites merveilles, dont il est impossible de se lasser !
 
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#Posté le samedi 03 mars 2012 08:47

Modifié le dimanche 04 mars 2012 20:26

Wagon bi-foudre avec vigie de garde-frein

Wagon bi-foudre avec vigie de garde-freinWagon bi-foudre avec vigie de garde-frein
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#Posté le samedi 10 mars 2012 18:39

Trains lourds, si possible majoritairement métalliques

Ferrovipathes d'ici et d'ailleurs,
 
Même si le Rail a énormément changé au cours de ces quarante dernières années, lorsque vous vous trouvez en bordure d'une ligne de chemin de fer, de surcroît face à divers aiguillages, le chant contemporain du train (toutefois quelque peu aseptisé par rapport à celui du temps jadis) résonnera toujours agréablement aux oreilles et à l'âme de tout ferrovipathe digne de ce nom !
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C'est la raison pour laquelle, sur mon modeste réseau HO, au niveau du matériel roulant, la première des priorités est constituée par des véhicules lourds, voire très lourds car, à mon avis, c'est la seule solution à appliquer, si l'on veut se rapprocher au maximum du chemin de fer réel. Par contre, il est évident que la traction de ces lourds convois exige des locomotives de ligne adéquates, c'est-à-dire dont leur poids en service s'élève de 400 grammes à 1 kilo suivant le type de machine. Ainsi, de par leur technologie électromécanique largement dimensionnée, ces machines exigent une alimentation en courant-traction en rapport avec leur puissance, c'est-à-dire au moyen de transformateurs à haut débit; le meilleur des exemples est constitué par le transformateur HAG de 48 Watts, puissance autorisant une double-traction en tête d'un lourd convoi de marchandises sur une forte rampe au profil sinueux.
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La deuxième des priorités s'avère reproduire le chemin de fer helvético-européen des années 1950-1970 environ; par contre, cette ambiance européenne m'a parfois péremptoirement imposé à admettre certains compromis, entre autres sous la forme de quelques locomotives et de wagons semi-métalliques (caisse en plastique et châssis métallique); ainsi, à titre d'exemples concrets, la locomotive Märklin de manoeuvre CE/CEB 800 (locomotive E 6302 de la DB, très ressemblante aux machines Ee 3/3 helvétiques, ainsi que le légendaire wagon couvert, également de Märklin, du type K3 des CFF) en constituent une preuve incontournable. De par leur châssis métallique, l'allure de ces véhicules hybrides demeure tout de même stable et pratiquement exempte de déraillements.
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Ces compromis ont été absolument nécessaires à ma conception ferroviaire personnelle, concrétisée par la mise en valeur aussi parfaite que possible du Rail européen de cette lointaine époque. Il est vrai, que je veille à ce que la majorité de mes véhicules soit constituée de lourdes pièces, martelant ostentatoirement et virilement les joints de rails; de ce fait, chaque fois que je me rends dans une bourse aux jouets et qu'il m'est possible de remplacer un type de véhicule plastico-métallique par un "tout métal", je n'hésite pas à franchir le pas, car c'est tout simplement par cette action qu'apparaît le chemin de la vérité !
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Certaines sections de mon réseau se présentent en courbes sinueuses, dont les rampes peuvent atteindre la valeur de 35 o/oo !  Or, un lourd train de marchandises (formé de vingt wagons et dont la majorité de ceux-ci est entièrement métallique), nécessite au minimum une traction par quatre essieux moteurs, dont deux (un sur chacune des deux machines) doivent absolument être équipés de bandages en caoutchouc; ces quatre essieux moteurs peuvent se répartir sur une double-traction ou sur une "Crocodile" CCS 800/3015, locomotive obligatoirement munie d'un essieu moteur avec bandages adhérents sur chacun des deux châssis moteurs, ou encore une machine à vapeur BR 44, dont on aura préalablement remplacé le quatrième essieu moteur "normal" par un essieu moteur muni de bandages adhérents (les essieux moteurs 4 et 5 de cette machine forment ainsi un tandem à l'adhérence renforcée, mais indispensable sur un réseau pentu et sinueux).
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Oui, je l'avoue franchement ici, les actuels véhicules "tout plastique", si finement reproduits soient-ils, ne m'inspirent tout simplement pas, car presque inaudibles lorsqu'ils évoluent sur leur réseau; par contre, ces véhicules légers peuvent s'avérer utiles, lorsqu'il s'agit de les démonter et d'utiliser certains de leurs attributs pour améliorer un ancien véhicule lourd (par exemple ajouter une vigie de garde-frein, etc.). En pratiquant de la sorte, tout ferrovipathe est en mesure d'ainsi réaliser un chemin de fer modèle des plus attrayants !
 
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#Posté le dimanche 11 mars 2012 11:24

Modifié le lundi 20 avril 2015 14:14

Voici un "tout métal" et une "plastico-métallique"

Voici un "tout métal" et une "plastico-métallique"Voici un "tout métal" et une "plastico-métallique"
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#Posté le dimanche 11 mars 2012 11:34

Ambiances montagnardes au Saint-Gothard

Ambiances montagnardes au Saint-GothardAmbiances montagnardes au Saint-GothardAmbiances montagnardes au Saint-GothardAmbiances montagnardes au Saint-GothardAmbiances montagnardes au Saint-GothardAmbiances montagnardes au Saint-GothardAmbiances montagnardes au Saint-Gothard
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#Posté le lundi 12 mars 2012 19:21

Modifié le mercredi 14 mars 2012 18:18

Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !

Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !Lorsque les locomotives BLS s'invitent sur le Saint-Gothard !
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#Posté le samedi 24 mars 2012 18:46

Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (1) !

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#Posté le samedi 24 mars 2012 18:54

Modifié le vendredi 30 mars 2012 17:40

Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !

Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !Constamment réssusciter le passé, telle demeure ma devise (2) !
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#Posté le samedi 24 mars 2012 19:05

Modifié le vendredi 30 mars 2012 17:40

Encore de nouveaux wagons bi-foudres

Encore de nouveaux wagons bi-foudresEncore de nouveaux wagons bi-foudresEncore de nouveaux wagons bi-foudresEncore de nouveaux wagons bi-foudres
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#Posté le mercredi 28 mars 2012 10:23

Modifié le samedi 05 mai 2012 16:22

Ses archives (605)

  • Par la grâce du modélisme, voici ce que je considère comme les plus beaux trains à voie normale que notre Helvétie aura connu (première partie) ! dim. 01 avril 2012
  • Par la grâce du modélisme, voici ce que je considère comme les plus beaux trains à voie normale que notre Helvétie aura connu (deuxième partie) dim. 01 avril 2012
  • Durant les années 1950/1960, un promeneur solitaire chemine parmi les voies de chemin de fer et découvre des ambiances qui ne peuvent que lui plaire, d'où ces quelques incontournables photographies légendaires !  (première partie) sam. 07 avril 2012
  • (Deuxième partie) dim. 08 avril 2012
  • SBB-Historic, la référence suprême ! mar. 17 avril 2012
  • L'Ae 3/6 II 10460 de Märklin de 1979 a sa place sur un réseau du temps jadis. La voici en tête d'un légendaire train omnibus d'autrefois ! mer. 18 avril 2012
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