Skyrock.com
  • HOMEPAGE
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Music
  • Sources
  • Videos
  • Gifts
  • Log in
  • Create your Blog

vieille-europe

Masquer See profile
Pictures of vieille-europe
  • Follow
  • Send a messageMessage
  • See profile
  • More options ▼
  • Share
  • Give a gift
  • Block
  • Subscribe to my blog
  • Choose this background
  • 4 sources
  • 57 fans
  • 14 awards
  • 605 articles
  • 88 hearts
  • 30 comments
  • 52,031 visits

Created: 26/08/2009 at 5:45 PM Updated: Yesterday at 6:41 PM

Un après-midi avec Swisstrain

En cette journée du samedi 21 septembre 2013, une des nombreuses associations bénévoles de conservation des véhicules-moteurs électriques historiques suisses à voie normale, la bien nommée Swisstrain, a convié la population à visiter le dépôt des locomotives de Payerne qui, entre temps est devenu sa propriété, ainsi qu'à emprunter le train spécial Payerne - Morat et retour. Le deuxième dépôt de cette association se trouve au Locle, où également plusieurs véhicules-moteurs des plus captivants s'y trouvent également.
 
Le dépôt des locomotives de Payerne détient une dizaine de véhicules-moteurs, dont certains sont en parfait état de marche, alors que d'autres attendent leur remise en état et leur homologation, afin d'être autorisés à circuler sur l'ensemble des lignes à voie normale du réseau suisse (installation du système de sécurité "ZUB", etc.).
 
Les photographies ci-après vous permettront d'apprécier cette magnifique collection, ainsi que l'élégance de ce train spécial, remorqué par la fameuse et puissante Ae 6/8 BLS No 208, propriété de l'association, qui a été magnifiquement restaurée par les Ateliers BLS de Spiez.
 
Si vous désirez approfondir vos connaissances au niveau de cette association, entièrement dévolue à l'archéologie ferroviairo-industrielle, il vous suffit de consulter son site internet, qui s'intitule: http://www.swisstrain.ch.
 
Quant à l'excursion en train spécial typique des années 1950, ce fut un authentique régal (l'aller dans une voiture légère digne des trains Märklin HO de notre enfance, alors que le retour s'est effectué dans une élégante voiture lourde de l'Entre-Deux-Guerres, oui, c'est tout simplement cela, ce que l'on désigne par "voyage"). Ainsi, se placer aux fenêtres ouverte, cheveux au vent, pour s'imprégner des paysages traversés, écouter le chant électromécanique de la locomotive, ainsi que celui du train filant allègrement sur sa voie, alors que l'odeur d'huile chaude, dégagée par la machine, s'en vient à caresser nos narines émerveillées par ce parfum sublime ! oui, tout cela concourt effectivement à la totale réussite d'un voyage ferroviaire digne de ce nom. Aujourd'hui, avec les convois modernes, rapides, confortables, efficaces, mais profondément aseptisés et totalement déshumanisés, au niveau du ressenti de "l'ambiance" prodiguée (tu parles !), nous ne faisons plus que de nous déplacer du point A au point B, les oreilles branchées à un diffuseur électronique, et tout s'arrête brusquement là !
 
Ci-dessous et ci-après, voici quelques instants immortalisés de cette merveilleuse journée.
 
Un après-midi avec Swisstrain
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 22 September 2013 at 9:43 AM

Edited on Sunday, 22 September 2013 at 1:07 PM

Swisstrain Payerne et Morat en images

Swisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en imagesSwisstrain Payerne et Morat en images
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 22 September 2013 at 9:51 AM

Phrase à méditer et à pratiquer

Je préfère être le meilleur dans les petites choses, plutôt que moyen dans les grandes !
 
Le modélisme ferroviaire est une composante de cette maxime.
 
Phrase à méditer et à pratiquerPhrase à méditer et à pratiquerPhrase à méditer et à pratiquer
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 27 September 2013 at 12:18 PM

A nouveau un grand moment à Erstfeld

En dates des 28 et 29 septembre 2013, un train spécial a été mis en marche entre Belfort (France) - Bâle - Erstfeld - Chiasso et retour; ce train, remorqué en double traction par les locomotives à vapeur SNCF 241 A 65 et 241 P 17, a fait halte à Erstfeld durant plus de deux heures pour "faire l'eau". ainsi que pour bénéficier de diverses opérations techniques, telles que contrôle des éventuelles boîtes chaudes, graissage, etc..
 
Durant ma longue vie de ferrovipathe de plus de soixante ans, c'est vraisemblablement l'une, sinon la plus belle des doubles tractions à vapeur qu'il m'ait été donné d'admirer. Ce fut un instant fort poignant, que ce soit à l'arrivée du train, aux manoeuvres en gare et finalement lors du départ (hélas avec locomotive Re 4/4 II comme machine de renfort en tête); il aurait été plus intelligent de placer cette machine électrique en queue du convoi. La seule locomotive électrique, qui aurait été acceptable d'être placée en tête aurait été la Ce 6/8 II 14253 de 1920, en parfaite harmonie avec ces deux machines à vapeur, mais de loin pas une "Bo-Bo", de surcroît aux couleurs rouge et bleue de "Cargo". Quel dommage !
 
Ci-dessous, ainsi que dans le chapitre suivant, quelques photographies, qui parlent d'elles-mêmes !
 
A nouveau un grand moment à Erstfeld
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Monday, 30 September 2013 at 2:47 PM

Edited on Monday, 30 September 2013 at 3:03 PM

Vapeur à Erstfeld (suite)

Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)Vapeur à Erstfeld (suite)
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Monday, 30 September 2013 at 2:49 PM

Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !

Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !Tout au long des saisons, la position du soleil change, permettant ainsi de découvrir de nouvelles ambiances !
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 03 October 2013 at 7:58 AM

"Fitnessfahrt" d'Olten - Ambiances à couper le souffle !

Ce samedi 19 octobre 2013 a eu lieu, à Olten, le dernier "Fitnessfahrt" 2013 de SBB-Historic.
 
Grâce à des conditions atmosphériques optimales, cette manifestation s'est révélée d'une totale réussite, avec des ambiances vraiment hors du commun.
 
Une quarantaine de ferrovipathes étaient présents et ont ainsi pu vivre des instants désormais gravés en leur mémoire.
 
En ce qui me concerne, mis à part les prises de vues elles-mêmes, ce ne furent qu'instants de contemplation, d'écoute, d'inhalation de parfums ferroviaires, de méditation et finalement de recueillement; bref, que du bonheur et des émotions en masse.
 
Pour nous, ceux de la génération du milieu des années 1940 à celle du tout début des années 1960, nous qui avons vécu encore quotidiennement et intensivement ce type de chemin de fer, que tout cela nous semble désormais bien lointain (entre trente et quarante ans en arrière). Par contre, les gens nés plus tard (disons entre 1965 et 1975), n'auront connu que l'extrême fin de cette époque. C'est la raison pour laquelle, face à ces anciennes locomotives, je me sens tout-à-coup envahi par un curieux sentiment de grand éloignement, oui, tout simplement de vieillesse, bien que j'aie encore la chance de jouïr d'une très bonne santé !
 
Les photographies, qui vont suivre, sont avant tout une immersion dans l'intimité de ces locomotives d'autrefois et me font retourner à mon statut de petit garçon des années 1950-1960, s'imprégnant du monde ferroviaire en gare de Saint-Triphon !
 
En contemplant ces merveilles d'un autre âge, des accents musicaux du terroir de jadis emplissent mon âme et me font prendre conscience que notre époque contemporaine, en ce début de 21ème siècle, m'apparaît, à bien des égards, comme terriblement fade !
 
"Fitnessfahrt" d'Olten - Ambiances à couper le souffle !"Fitnessfahrt" d'Olten - Ambiances à couper le souffle !"Fitnessfahrt" d'Olten - Ambiances à couper le souffle !
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 20 October 2013 at 11:45 AM

Edited on Monday, 21 October 2013 at 10:23 AM

"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)

"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (première partie)
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 20 October 2013 at 11:48 AM

Edited on Sunday, 20 October 2013 at 12:02 PM

"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)

"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)"Fitnessfahrt" d'Olten en images (deuxième partie)
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 20 October 2013 at 11:56 AM

Video HO Märklin-Anlage 1950-1970 - "Les CFF authentiques" - "Die authentischen SBB " - "CFF autrefois" - "SBB damals"

Mis à part les manifestations ferroviairo-historiques, le genre de chemin de fer (principalement à voie normale), que je vénère dans sa dimension quotidienne a, pour ainsi dire, totalement disparu, que ce soit au niveau de ses hommes, les emblématiques cheminots, ainsi qu'en ce qui concerne la conception de la voie, de la ligne de contact, des bâtiments, des signaux et autres installations fixes, et finalement du matériel roulant.
 
Ainsi, cheminots en uniforme d'une élégance à tout jamais insurpassée (qu'ils soient ouvriers de gare, à la manoeuvre ou de voie, commis, chefs ou inspecteurs de gare, visiteurs, mécaniciens, contrôleurs, chefs de train ou chefs de train principaux, etc.), voies et aiguillages munis de leur attachante lanterne pivotante, vénérés postes d'aiguillages « Bruchsal » ou « Judel » (dignes des plus belles cathédrales) et signaux mécaniques, poteaux en treillis pour la caténaire, installations et équipements divers, émouvants tintements des cloches de gare (qui me manquent cruellement, car je me trouve dans l'impossibilité absolue d'en faire le deuil), bâtiments typiques et en totale harmonie avec leur environnement, locomotives à vapeur, véhicules-moteurs électriques équipés de la mécanique et de l'électrotechnique traditionnelles, voitures voyageurs et wagons de marchandises multiformes et multicolores etc., tout ce monde de légende n'est désormais plus qu'un lointain souvenir ; dès lors, une muraille infranchissable sépare le chemin de fer de nos pères de celui de ce début du vingt-et-unième siècle, chemin de fer hypermodernisé, très (trop) proche de la science-fiction, et qui n'a strictement plus rien à voir avec celui du temps jadis. Fort heureusement, la voie métrique est encore en mesure de nous offrir, quotidiennement, quelques beaux témoignages d'authenticité, notamment au niveau des paysages traversés et préservés des apocalyptiques parois anti-bruit !
 
Cependant, dans le but de tenter, par tous les moyens et au mieux de mes modestes possibilités, de ressusciter cette époque bénie, théâtrale à souhait, j'ai réalisé cette petite vidéo de dix minutes en chiffres ronds, dont le tournage s'est exclusivement effectué sur mon « Chemin de Fer-Musée du Cabanon », alors que, grâce à mon petit-fils Niels de 15 ans (plus qu'hyperdoué en informatique - utiliser les technologies du futur pour glorifier d'une manière optimale celles du passé -), j'ai été en mesure d'utiliser et de faire assembler (toujours par mon petit-fils) certains incontournables bruitages en provenance du chemin de fer réel de jadis, musique authentique qui se fond avec celle de mon chemin de fer modèle et produit ainsi une bouleversante osmose.
 
Ces bruitages du chemin de fer réel (cloches de gare, chants de locomotives en marche, compresseurs de locomotives électriques, etc.) correspondent, avec exactitude, aux éléments auxquels ils sont concernés. Toutefois, afin d'éviter toute lassitude de la part des spectateurs/auditeurs de cette vidéo, les bruitages en question ne s'expriment que durant quelques secondes ; ces bruitages font office de messages subliminaux, dont leur mission est d'affirmer : « Le chemin de fer authentique, c'était tout simplement cela, ne l'oubliez jamais, souvenez-vous en éternellement ! ».
 

Add this video to my blog


Villy, novembre 2013                                                                                                        Votre serviteur : Michel POUSAZ
 
 
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 21 November 2013 at 5:40 PM

Edited on Tuesday, 30 June 2015 at 8:21 AM

Mise en service de la "Crocodile" Ce 6/8 III 30159 Märklin de couleur brune / Video Inbetriebsnahme des braunen HO-Märklin-Krokodils Ce 6/8 III 30159

En date du 23 novembre 2013, à l'occasion de la manifestation ferroviaire « Transexpo », qui s'est tenue dans la galerie principale de l'Aéroport de Genève-Cointrin, il m'a enfin été donné la possibilité d'acquérir un exemplaire du fameux modèle Märklin HO de la Ce 6/8 III 30159 (contraction de 3015.9), habillée de sa robe brune d'origine de l'Entre-Deux-Guerres.
 
Ce modèle fait partie d'une série unique, fabriquée en 1996 seulement, à l'occasion des septante ans de la série des 18 « Crocodiles » Ce 6/8 III CFF ; cette série de machines a, en effet, été construite en 1926 (série 14301 à 14309) et 1927 (série 14310 à 14318), locomotives intensivement et presque exclusivement utilisées (jusqu'au début des années 1960) sur la Ligne du Saint-Gothard et ses lignes d'accès, principalement sur le parcours Basel – Olten – Aarau – Lenzburg – Rotkreuz – Arth-Goldau – Erstfeld – Bellinzona – Chiasso et vice-versa ; cependant, ces machines ont également circulé sur les autres lignes du pays et, vers la fin de leur carrière (entre 1970 et 1977), on pouvait également les rencontrer en Suisse romande, sur les lignes du Plateau, du Pied du Jura, du Jura lui-même, ainsi que sur celle du Simplon jusqu'à Brig ; en outre, des apparitions jusqu'au Bouveret ont même pu être très rarement observées.
 
A ce jour, deux locomotives de ce type ont été conservées en parfait état de marche ; il s'agit de :
 
- La Be 6/8 III 13302, appartenant au Club d'Horgen mais sous la juridiction de SBB-Historic ; cette machine
  est garée à l'intérieur du Dépôt de Rapperswil, en compagnie de l'Ae 3/6 I 10664 et de la Re 4/4 I 10044;
  la 13302 se présente dans son aspect du milieu des années 1950 aux années 1970, soit actuellement
  caisse verte (ton identique à celui appliqué sur les dernières 3015 Märklin)/châssis et organes de roulement
  gris foncé, ainsi que suppression des passerelles frontales rabattables d'intercommunication et des
  échelles, mains courantes et portes d'accès aux cabines de conduite sur le côté droit des parois latérales de
  la caisse centrale)
 
- La Ce 6/8 III 14305 de SBB-Historic, remise dans son aspect du début des années 1950 (caisse vert-foncé/
  châssis et organes de roulement d'un gris plus clair que celui appliqué sur la 13302 citée ci-dessus, ainsi
  que présence des passerelles frontales rabattables d'intercommunication, des échelles, des mains
  courantes et des portes d'accès sur le côté droit des parois latérales de la caisse centrale) ; cette locomotive
  est garée à l'intérieur du Dépôt d'Olten, en compagnie d'un grand nombre d'autres véhicules-moteurs de
  SBB-Historic
 
Voici les premières opérations, effectuées préalablement à la mise en service de mon magnifique modèle :
 
- Démontage de la caisse centrale, afin de procéder au graissage des divers axes, pignons, couronnes
  dentées et paliers (après 17 ans de non activité, c'est de rigueur). Lors du remontage de la caisse, puis de la
  mise en voie et sous tension, à l'enclenchement, j'ai constaté que le bruit électromécanique caractéristique
  de ce type de machine n'était pas ce que j'en attendais; j'ai donc procédé à un deuxième démontage de la
  caisse centrale et j'ai constaté que le moteur de traction n'était pas correctement fixé sur le châssis recevant
  ladite caisse centrale. J'ai donc procédé à un examen minutieux, afin de déterminer l'emplacement des deux
  vis de fixation du moteur en question; disposées en quinconce à la base du stator, dans le sens longitudinal;
  quelle ne fut pas ma surprise, lorsque j'ai introduit le tournevis, de constater que ces deux vis n'avaient, tout
  simplement, pas été serrées au montage, d'où inévitable bruit mécanique anormal; bien évidemment, après
  ce serrage en bonne et due forme, le remontage de la caisse centrale, la pose sur la voie et la mise sous
  tension, cette locomotive fit ses premiers tours de roues dans la perfection la plus absolue. Après quelques
  minutes de roulement haut-le-pied, la traction d'un train marchandises de poids moyen, puis d'un lourd
  convoi digne du Saint-Gothard de la Grande Epoque, furent accouplés. Le résultat fut digne d'une mise en
  service de la MFO d'Oerlikon en 1926... ou d'une sortie des Ateliers Principaux de Bellinzone après une
  révision générale. D'autre part, chaque ferrovipathe, possesseur d'un tel type de modèle, est en mesure de
  constater son extrême complexité mécanique, nécessitant de ce fait une importante visserie qui, par suite 
  des inévitables vibrations en service, peut parfois se desserrer, d'où l'importance cardinale de l'application
  d'un contrôle et d'un entretien préventifs périodiques; de ce fait, en raison d'un semblable complexité méca-
  nique, par suite de la même technologie que celle équipant les CCS 800/3015, le modèle de la première
  Re 4/4 (RE 800), nécessite la même attention particulière. Il va de soi que ces contrôles périodique doivent
  également être respectés sur la totalité du matériel roulant en service sur un chemin de fer modèle quel
  qu'il soit
 
- La séparation, entre les parois de la caisse centrale et la partie supérieure des capots d'extrémité étant
  légèrement trop importante (bâillement), il a été procédé au sciage d'une épaisseur de deux millimètres
  des deux manchons intérieurs, prévus pour la fixation en diagonale de la caisse centrale sur le châssis
 
- Desserrage des deux vis de fixation des capots d'extrémité et insertion d'un carton de 10 mm de large,
  25 mm de long et d'un millimètre d'épaisseur, carton placé à l'intérieur du capot, côté caisse centrale,
  puis resserrage des deux capots en question
 
- Vérification du parfait alignement horizontal des trottoirs, entourant les capots d'extrémité, avec la base
  sur laquelle s'appuie la caisse centrale.
 
Le sciage des deux manchons de fixation de la caisse centrale (à l'aide d'une petite scie circulaire électrique de la marque Dremel), ainsi que l'élévation d'un millimètre des deux capots d'extrémité (côté caisse centrale) ont permis la suppression du bâillement disgracieux, ce qui restitue ainsi un aspect général des plus élégants qui soient, aspect conforme en tous points à la réalité.
Les locomotives HO « Crocodile » Märklin des séries CCS 800/3015 demeureront, à tout jamais, des chefs-d'oeuvre insurpassés, tant au niveau de leur légendaire fiabilité électrotechnique traditionnelle, que de celui de leurs exceptionnelles possibilités de traction.
 
Par contre, ce qui me choque profondément, c'est que, sur les catalogues et autres imprimés officiels et publicitaires de la marque, édités à partir de l'année de naissance de ce modèle (1947) et jusqu'en 1975, puis en 1996 pour la série spéciale des machines de couleur brune, des photographies de CCS 800 et 3015, présentant un bâillement plus ou moins important et disgracieux, ont tout de même été publiées en milliers d'exemplaires ; à mon avis, ce sont, en tout premier lieu, les constructeurs qui, lorsque les machines en question étaient terminées, lors de la pose sur la voie pour examen de la bien-facture générale, auraient immédiatement dû déceler ce défaut qui « crevait les yeux » et ainsi procéder à son élimination. En outre, les photographes et graphistes attitrés, ainsi que les « responsables » des diverses publications de la firme, lors du tirage des épreuves d'imprimerie, auraient également dû réagir promptement et exiger des reproductions de machines se présentant sous un aspect esthétique correct (car il y en avait). En négligeant cette particularité, un gros risque industriel a été pris de la part du fabricant, car la clientèle aurait été en droit de refuser d'acquérir un modèle présentant cette infirmité crasse.
 
Ce qui demeurera à tout jamais incompréhensible, c'est que plusieurs machines se sont présentées avec une esthétique parfaite à leur sortie d'usine (principalement les CCS 800), alors que d'autres bâillaient à qui mieux mieux et, ce qui reste encore le plus incroyable dans toute cette affaire, c'est que les machines handicapées se sont tout de même vendues, à ma connaissance sans aucune réaction officielle de la part de la clientèle Märklin car, jusqu'à ce jour, je n'ai jamais entendu, ni lu la moindre réclamation au sujet de ce bâillement disgracieux; il faut vraiment croire que l'omniprésence de cette machine a été si impressionnante, que cela a, purement et simplement, annihilé la réflexion de leurs possesseurs face à ce bâillement .
 
Enfin, alors que les caisses centrales et capots d'extrémités en zamac des CCS 800 et 3015 sont tous sortis du même moule, je n'arrive toujours pas à comprendre, lors des phases finales de l'ajustage et durant le montage, la raison de la présence de ces différences d'exécution à ce niveau.
 
En guise de conclusion, heureux possesseurs d'une ou de plusieurs CCS 800/3015 affublées de ce bâillement, il ne vous reste désormais plus qu'à leur « fermer la bouche » !

Au niveau de la série spéciale de 1996, le point principal à relever s'avère être la qualité exceptionnelle de la peinture brune légèrement patinée de la caisse ; de tous les modèles réduits HO, qui me sont passés entre les mains jusqu'à ce jour, aucun ne s'est présenté avec une peinture affichant une telle pureté, une telle élégance ; de surcroît, ce modèle HO de locomotive de dix-sept ans n'a jamais été activé entre sa naissance et jusqu'à ce jour, ce qui constitue donc une rareté exceptionnelle. A mon avis strictement personnel, les Ce 6/8 III brunes 30159 (équipées de l'inverseur de marche électromagnétique traditionnel) et 36159 (munies du décodeur électronique) demeureront la plus belle réussite esthétique de tous les temps au niveau de la production HO de Märklin. C'est bien simple, en admirant cette machine (caisse centrale et capots d'extrémité correctement ajustés par mes soins), prête au départ sur mon réseau, je n'ai pu retenir quelques larmes.
 
Enfin un très vieux rêve se réalise : celui de former une double traction de locomotives du type « Crocodile » (l'une en brun et l'autre en vert) en tête d'un lourd train de marchandises en transit sur la Ligne du Saint-Gothard, ambiance que l'on pouvait encore quotidiennement admirer durant les années 1940, période où la variété de la couleur des robes des différents véhicules-moteurs CFF était considérable.
 
Finalement, en contemplant l'aspect et le mouvement de cette machine parmi les voies du réseau, je reçois un vibrant message de la part de cette locomotive brune, appel qui m'exhorte à ne plus que désormais me concentrer sur les lieux, les situations, les objets et les personnes qui me procurent un bien-être existentiel, une plénitude et une extase, qui m'appartiendront totalement jusqu'à mon dernier souffle !
.
Ci-dessous et ci-après, une vidéo et plusieurs photographies mettent en valeur cette nouvelle Reine du Rail du « Chemin de Fer-Musée du Cabanon ».
.

Add this video to my blog

 
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 24 November 2013 at 1:35 PM

Edited on Sunday, 28 June 2015 at 7:44 PM

Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015

Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015Authentiques "Ambiances Gothard" avec les Ce 6/8 III 3015 de Märklin / Authentische Gotthard-Stimmungen mit den Märklin-Ce 6/8 III 3015
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Sunday, 24 November 2013 at 1:53 PM

Edited on Wednesday, 27 November 2013 at 2:44 PM

La célèbre revue ferroviaire mensuelle "LOKI" annonce la parution d'un reportage dans son numéro de février 2014

LOKI, Heft 02-2014


Hommage an die 1960er-Jahre
 
 
Ein halbes Jahrhundert oder etwas mehr eisenbahnerisch zurückblenden, das ist die Zeit, als die Eisenbahn für viele heute in die Jahre gekommene «Knaben» von damals einen immensen Eindruck hinterliess. Auf die heutige Anlage in diesem Stil von Michel Pousaz werfen wir unsere Blicke.

La célèbre revue ferroviaire mensuelle "LOKI" annonce la parution d'un reportage dans son numéro de février 2014
 
 
 
 
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 12 December 2013 at 8:18 PM

Edited on Friday, 13 December 2013 at 6:45 AM

Enfin une gare digne de ce nom !

C'est en date du 19 décembre 2013, que la gare et ses annexes de mon "Chemin de Fer-Musée du Cabanon" ont enfin atteint leur réalisme définitif.
 
En cette journée, six cloches de gare "Bemo", au bouleversant style jadis en vigueur sur la Ligne du Saint-Gothard, ont été "mises en service", cloches désignées également par "cloches à manteau", que l'on retrouvait également dans plusieurs gares du Deuxième Arrondissement des CFF, soit principalement entre Bâle et Lucerne, Berne et Lucerne, Bienne et Olten, ou encore sur la ligne du Sud-Argovien, entre Olten et Immensee via Lenzbourg et Rotkreuz. Ces cloches étaient à un, deux, voire à trois tons dans certaines gares de jonction très importantes, telle que, par exemple, Arth-Goldau (présence de trois lignes CFF différentes, soit: de et pour Lucerne ou le Sud-Argovien, de et pour Zoug - Zürich et enfin en direction et en provenance du Saint-Gothard). En outre, des cloches parfaitement semblables étaient également utilisées en Allemagne (personnellement, je pense que c'est la Compagnie du Saint-Gothard, la fameuse Gotthardbahn, qui a choisi le modèle allemand, alors que, sur le reste du territoire suisse, ce sont les cloches françaises à un et deux tons, dites "du PLM", qui étaient en vigueur).
 
Que ce soit au niveau du matériel roulant, mais tout particulièrement de celui de l'infrastructure, entre le milieu du dix-neuvième et la première moitié du vingtième siècle, les compagnies ferroviaires allemandes ont fortement influencé les chemins de fer suisses (lanternes d'aiguille pivotantes, signaux avancés et de passage sous forme de disques basculants, de sémaphores à une ou deux ailes, de signaux de manoeuvre à cible pivotante, etc., le tout commandé à l'aide de postes d'aiguillage mécaniques à leviers des types "Bruchsal" ou "Judel", du système de block alternatif "Hasler" à manettes enfonçables, dont la dynamo est entraînée par l'agent de gare au moyen d'une manivelle pour la fourniture du courant de commande, etc.). A partir des années 1940, les signaux lumineux sont apparus mais, encore vers la fin des années 1950/début des années 1960, les signaux mécaniques étaient toujours, fort heureusement, nettement majoritaires, ce qui maintenait ainsi une ambiance ferroviaire demeurée à tout jamais irremplaçable.
 
Fort des arguments cités ci-dessus, je suis en mesure de déclarer, solennellement et à titre strictement personnel, que toute gare digne de ce nom devrait être équipée des agrégats cités dans les deux alinéas précédents. Actuellement, ces divers appareils d'exploitation et de sécurité ont pratiquement disparu, remplacés qu'ils le sont par des composants électroniques, à la fois totalement muets et infiniment moins spectaculaires. Une fois de plus, d'ailleurs tout comme l'ensemble du domaine ferroviaire contemporain, nos gares ont également perdu leur âme; cependant, à ce sujet, c'est bien avant tout la disparition des cloches qui a définitivement sonné le glas et plongé nos gares dans une sorte de léthargie ennuyeuse.
 
Ainsi, si vous voulez vraiment revivre pleinement ce style d'exploitation ferroviaire, à nul autre pareil mais enfui à tout jamais, n'oubliez pas de visionner ma vidéo, intitulée "CFF authentiques", qui figure sur cette page 23 du présent Blog-Internet.
 
Ci-dessous, trois photographies, où figurent donc les cloches nouvellement installées sur mon "Chemin de Fer-Musée du Cabanon".
.
Enfin une gare digne de ce nom !Enfin une gare digne de ce nom !Enfin une gare digne de ce nom !
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 19 December 2013 at 8:13 PM

Edited on Sunday, 19 April 2015 at 4:11 PM

Règles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trains

a) Préambule :
 
Au niveau du modélisme ferroviaire, en matière d'enseignement sur la manière de gérer la circulation des trains, rien ne me semble plus adéquat que la présence d'une signalisation simple, visible et claire dans sa compréhension ; ainsi, les lanternes pivotantes des aiguillages, les signaux mécaniques et les signaux lumineux rouge/vert (mais qui ne s'apparentent pas à des sapins de Noël) constituent la matière première pour atteindre cet objectif.

 
b) Voici les règles de base absolues :
 
Lors de l'établissement d'un parcours, qu'un train doit franchir, ou préalablement à l'exécution d''un mouvement de man½uvre, ce sont tout d'abord les branchements concernés qui doivent être correctement disposés.
 
Une fois les branchements placés dans la bonne direction, dans le cas du départ d'un train, ouvrir le signal de sortie (sémaphore à une – voie directe - ou deux ailes – parcours en déviation - ou signal lumineux rouge/vert)
 
Lorsque l'arrivée d'un train est prévue avec arrêt en gare, après correcte disposition des branchements concernés, ouvrir le signal avancé (disque rabattu non visible du mécanicien) qui, simultanément ouvre l'aile supérieure du sémaphore d'entrée (entrée sur voie directe); lorsque l'entrée doit s'effectuer sur voie déviée, actionner l'aile inférieure du sémaphore ; dans ce cas, le signal avancé de sortie (placé au droit du signal d'entrée), désigné également par « disque de passage », demeure fermé (face visible du disque), puisque le train doit faire arrêt en gare. En outre, dans le cas d'une entrée en déviation, que le train franchisse la gare sans arrêt ou fasse arrêt dans celle-ci, le signal avancé de sortie demeure fermé (dans ce dernier cas, il signifie « position d'avertissement »)
 
Dans le cas de l'annonce d'arrivée d'un train, avec franchissement sans arrêt de la gare, toujours après correcte disposition des branchements concernés et ouverture du signal d'entrée, ouvrir également le signal de sortie puis, en dernier lieu seulement, le disque de passage placé au droit du signal d'entrée.
 
Lorsque le convoi a quitté ou franchi la gare, fermer le signal de sortie (aile du sémaphore abaissée ou signal lumineux passant du vert au rouge), fermer le signal avancé de sortie/disque de passage par basculement et affichage de sa face visible et enfin fermer le signal d'entrée par abaissement horizontal de l'aile supérieure et rabattage vertical de l'aile inférieure le long du mât du signal, ceci conjointement avec la fermeture du signal avancé en forme de disque rabattable) ; une fois les signaux à l'arrêt, laisser les branchements dans leur position actuelle ou, au contraire en cas de nécessité, les disposer dans leur position habituelle ou dans une autre position adéquate.
 
Lorsqu'un mouvement de man½uvre doit être exécuté, les branchements sont tout d'abord disposés d'une manière adéquate, alors que les signaux principaux à franchir sont tous en position d'arrêt, puis ouvrir le signal de man½uvre (cible circulaire noire sur fond blanc, avec bande centrale horizontale noire, le tout pivotant d'un huitième de circonférence, afin que la cible affiche une bande noire en diagonale pour autoriser le mouvement en question). Afin que les signaux principaux puissent être franchis à l'arrêt, annuler les sections isolées de protection de ces signaux. Dans le sens inverse, lorsque le mouvement de man½uvre est terminé, fermer le signal de man½uvre, disposer les branchements dans leur position habituelle et réactiver la zone isolée précédant les signaux principaux d'entrée, de sortie et de passage en pleine voie.


c) L'indispensable présence du signal de queue sur un chemin de fer modèle:
 
Mis à part les mouvements de man½uvre, tout train circulant sur des voies principales doit être muni du fameux signal de queue, bien évidemment selon le style en vigueur dans chaque pays.
 
Ce signal détient l'importante fonction de communiquer aux divers cheminots concernés sur le terrain, que le train, qui passe devant eux, est bien complet et qu'aucun véhicule remorqué n'est resté en pleine voie par suite de désaccouplement intempestif, désaccouplement produit, entre autres, par une soudaine chute de tension (provoquant une réaction de tassement dans le convoi, d'où risque de soulèvement de boucle d'attelage) ou de joint défectueux entraînant une secousse dans le train et dont les conséquences sont identiques à celle de la chute de tension citée ci-dessus. Un véhicule ou une rame, désaccouplés et non détectés à temps, ne pourra que provoquer un accident lors du prochain passage d'un convoi.
 
Cela implique donc que le ou les exploitants d'un chemin de fer modèle observent le même comportement qu'un cheminot dans ses multiples tâches quotidiennes, à savoir l'observation du passage du train, afin de détecter à temps toute anomalie et prendre les mesures qui s'imposent.
 
Règles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trains
Règles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trains
Règles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trains
Règles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trains
Règles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trainsRègles de base, affichées dans l'ordre chronologique de la desservance des branchements et des signaux de gare et de la pleine voie, ainsi que relatives à l'importance de la présence du signal de queue sur les trains

​ 2 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 03 January 2014 at 12:08 PM

Edited on Thursday, 13 February 2014 at 5:06 PM

Les signaux concernés, cités dans l'ordre chronologique du chapitre précédent

1.  Lanternes pivotantes pour branchements (de gauche à droite, en position déviée, puis en position droite).
     En arrière-plan, sémaphore d'entrée présentant les deux ailes déployées (entrée en déviation)
 
2.  Signal avancé d'entrée ou de sortie/disque de passage, en position fermée ou d'avertissement
 
3.  Sémaphore d'entrée ou de sortie à une aile, en position fermée
 
4.  Sémaphore d'entrée ou de sortie à deux ailes indépendantes, en position fermée
 
5.  Signal lumineux de sortie ou de pleine voie, en position fermée
 
6.  Signal lumineux de sortie ou de pleine voie, en position ouverte
 
7.  Signal de manoeuvre, en position de manoeuvre interdite
 
8.  Signal de manoeuvre, en position de manoeuvre autorisée.
 

Les signaux concernés, cités dans l'ordre chronologique du chapitre précédentLes signaux concernés, cités dans l'ordre chronologique du chapitre précédentLes signaux concernés, cités dans l'ordre chronologique du chapitre précédentLes signaux concernés, cités dans l'ordre chronologique du chapitre précédentLes signaux concernés, cités dans l'ordre chronologique du chapitre précédent
 
 
 
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 03 January 2014 at 12:29 PM

Edited on Saturday, 04 January 2014 at 1:26 PM

Video HO Märklin-Anlage 1950-1970 - Mission accomplie ! - Auftrag erfüllt !


Chers Amis et Amies ferrovipathes,

... ne vous effrayez cependant pas, car le titre de ce chapitre ne constitue aucunement la fin de mon blog ; par contre, ce chapitre représente bien une sorte d'aboutissement écrit et audio-visuel du message que je transmets, depuis plusieurs années, à tous les ferrovipathes épris de vérité ferroviaire européenne intangible, vérité à tout jamais éternelle, que la modernité aseptisée, régnant en despote absolue en ce début de vingt-et-unième siècle, ne pourra, toutefois au grand jamais débusquer, sous quelque forme que ce soit, ce qui habite l'âme de ceux qui ont connu le chemin de fer authentique.

Tout être humain accomplit, consciemment ou inconsciemment, une mission lors de son passage sur cette terre. En un mot comme en cent, en ce qui me concerne personnellement, ce chapitre en constitue la preuve ultime et définitive ; l'objectif final de ma mission, à savoir la glorification sans concessions du chemin de fer européen à voie normale de la période s'étendant de la fin du XIXème siècle aux années 1970 environ, est ainsi globalement atteint ! De la même façon, je glorifie également l'Helvétie du temps où elle était encore quasiment intacte, que ce soit au niveau de son environnement naturel ou de celui de l'architecture de ses bâtiments et autres constructions, dont l'harmonie atteignait des sommets de beauté.

La vidéo ci-après, constitue donc la concrétisation elle-même de cette ultime mission; désormais, il ne m'est tout simplement pas possible d'aller au-delà de ce message transmis à tout internaute désireux d'en prendre connaissance.

"Le Chemin de Fer-Musée du Cabanon" s'avère tout simplement être une authentique archéologie industrielle, s'exprimant ainsi parmi du patrimoine "naturel" et bâti.

 
Michel POUSAZ
 

Add this video to my blog


​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 03 January 2014 at 5:42 PM

Edited on Tuesday, 30 June 2015 at 8:18 AM

Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin

Si ce type de machine figure au tout début de mon blog, alors qu'elles circulaient sur l'ancien réseau, par contre, jusqu'à ce jour, elles manquaient à l'appel sur ma nouvelle installation du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon; désormais, cette lacune est comblée et, ci-dessus, voici donc mes deux Ae 6/6 (aux armoiries de Fribourg et de Berne) en pleine activité.
 
Plus jeunes de quelques années que les Ae 6/6 HAG 11403 (1961) de la deuxième génération, les machines Märklin 11414 (1964) sont d'égale qualité au niveau de la fiabilité de fonctionnement; leur esthétique est légèrement plus fine que les machines HAG mais, par contre, la couleur verte aurait dû être plus foncée (sous ce coloris, ces machines présentent donc un aspect d'une peinture très légèrement délavée, mais cependant encore tout à fait acceptable à l'oeil).
 
La caisse du modèle Märklin est un tout petit peu plus large, mais cela ne choque pas trop et demeure donc dans les limites acceptables de l'esthétique générale (toutefois, au niveau des proportions longueur-largeur-hauteur, ainsi qu'à celui de la couleur verte appliquée, le modèle HAG apparaît, à mon avis strictement personnel, tout de même comme esthétiquement supérieur); par contre, réunir une Ae 6/6 HAG et une autre de Märklin n'est toutefois pas souhaitable (c'est tout simplement une faute de goût). Former une double traction Ae 6/6 Märklin + locomotives HAG des types Ae 4/7,  Re 4/4 I, Re 4/4 II, ou Re 6/6 des CFF, ou encore Ae 4/4, Ae 8/8 ou Re 4/4 BLS (bien évidemment, véhicules-moteurs à l'ancien gabarit), me paraît, à mon avis strictement personnel, tout à fait admissible.
.
Ecussons cantonaux à appliquer sur les Ae 6/6 HAG et MAERKLIN:
Les parois latérales de la caisse des machines HAG de la deuxième génération (1961) portent, en relief donc non modifiables, le numéro 11403 (Schwyz), ainsi que les lettres "SBB - FFS"; le numéro 11403 correspond au Canton de Schwyz, alors que les lettres SBB - FFS ne concernent qu'uniquement les locomotives arborant les armoiries des cantons et demi-cantons suisses allemands, soit: Schwyz, Lucerne, Nidwald, Obwald, Aargovie, Soleure, Bâle-Ville, Bâle-Campagne, Zoug, Zürich, Schaffhouse, Thurgovie, Glaris, Saint-Gall, Appenzell Rhodes Intérieures, Appenzell Rhodes Extérieures et Grisons. Si l'on veut appliquer un choix rigoriste, seul le Canton de Schwyz entre en considération; toutefois, au niveau du modélisme ferroviaire et esthétiquement parlant, seule demeure admissible la mise en service simultanée de deux ou de plusieurs Ae 6/6 de même numérotation, mais arborant des armoiries cantonales différentes. En ce qui me concerne, possédant deux locomotives HAG 11403, l'une arbore l'armoirie "Schwyz", alors que l'autre présente l'écusson soleurois; ce choix se dicte par la numérotation réelle 11408 de la deuxième machine (le "8" s'àvère être deux "3" enlacés); l'autre armoirie que l'on peut également appliquer sans que cela soit trop choquant, est "Bâle-Campagne" 11409 car, là également, le "9" est une sorte de "3" fermé dans sa partie supérieure.
.
Les parois latérales de la caisse des machines MAERKLIN (1964) portent, en relief donc non modifiables, le numéro 11414 (Berne), ainsi que les lettres "SBB - CFF" sur une des deux parois latérales et "SBB - FFS" sur l'autre paroi; sur ce modèle de locomotive (dont l'écusson exact est "Berne") ne peuvent être appliquées que les armoiries des cantons bilingues français-allemands, ainsi que celles concernant les cantons entièrement romands, soit: Berne, Fribourg, Vaud, Valais, Neuchâtel et Genève. Une de mes deux machines conserve son écusson "Berne", alors que la deuxième a reçu l'armoirie "Fribourg"; ce choix s'est dicté par le bilinguisme de ces deux cantons.
.
Actuellement, dans la réalité, de ces Ae 6/6 bilingues et romandes, seule subsiste encore la 11425 "Genève", propriété de SBB-Historic et attribuée au dépôt d'Olten. Magnifiquement restaurée et entretenue sous sa couleur rouge conservée, elle porte toutefois, sur chacune des deux parois latérales, les lettres "SBB - CFF".
.
Comme nous le savons, les deux premières Ae 6/6 11401 (Tessin) et 11402 (Uri) sont des prototypes, dont la différence la plus visible est constituée par l'application de boîtes d'essieux semblables aux locomotives Re 4/4 I et aux automotrices CFe, puis BFe et finalement BDe 4/4; ainsi, tant les modèles HAG de la deuxième génération que ceux produits par Märklin n'autorisent pas l'application des armoiries des deux cantons gotthardiens cités au début de cet alinéa. Toujours au sujet des locomotives-prototypes, en 1957, HAG a réalisé un modèle de l'Ae 6/6 prototype, toutefois sous un aspect très rustique (entre autres, dimensions diminuées, roues pleines au lieu de munies des rayons, traverses porte-tampons pivotant avec les bogies); par contre, ce modèle, portant le numéro 11401, pouvait recevoir les armoiries "Tessin" ou "Uri", car les couvercles des boîtes d'essieux correspondaient aux deux machines réelles. Actuellement, la 11401 "Tessin", en robe rouge, a été prêtée à un musée ferroviaire allemand, alors que la 11402 "Uri", propriété de SBB-Historic, magnifiquement restaurée dans son aspect d'origine (robe vert-foncé et bogies gris-clair), est attribuée au dépôt d'Erstfeld.
.
Les photographies ci-dessous ne présentent que les deux machines MAERKLIN, les machines HAG ayant déjà été très largement mises en valeur.
 
 
Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin
Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin
Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin
Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin
Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin
Les locomotives Ae 6/6 11414 (3050) de Märklin
​ 8 |
​
2 | Share
Comment

#Posted on Friday, 31 January 2014 at 12:11 PM

Edited on Sunday, 19 April 2015 at 4:06 PM

Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"

Le mois de février représente un grand événement pour le "Chemin de Fer-Musée du Cabanon", puisqu'il a bénéficié d'un reportage sur la revue ferroviaire suisse LOKI du mois de février 2014. Ce reportage se présente sous une qualité rédactionnelle et photographique d'un très haut niveau. Il figure sur onze pages, numérotées de 52 à 61.
 
Ci-après, voici les différentes pages scannées, ainsi qu'une traduction en langue française du texte original en allemand.
 
Il ne me reste à souhaiter que tous les ferrovipathes concernés trouvent du plaisir à découvrir ce reportage.
 
Avec mes remerciements et mes amitiés.
 
 
Le propriétaire-exploitant du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon": Michel POUSAZ
 
 Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"Reportage LOKI 02-2014 en faveur du "Chemin de Fer-Musée du Cabanon"
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 07 February 2014 at 7:07 PM

Edited on Friday, 07 February 2014 at 8:41 PM

Deuxième partie du reportage LOKI

Deuxième partie du reportage LOKIDeuxième partie du reportage LOKIDeuxième partie du reportage LOKIDeuxième partie du reportage LOKIDeuxième partie du reportage LOKI
​ 2 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 07 February 2014 at 7:20 PM

Traduction en français du texte original en allemand

Traduction allemand – français du texte et des légendes du reportage paru aux pages 52 à 61 de la revue ferroviaire suisse LOKI du mois de février 2014, par Beat WEIBEL, Thierrens VD
 
 
 
Le monde nostalgique du chemin de fer modèle en HO de Michel POUSAZ
 
 
 
Nostalgie et poésie ferroviaire au cabanon
 
C'est dans le petit local du cabanon de jardin, que Michel Pousaz s'est construit son réseau de chemin de fer modèle nostalgique HO selon le système « alternatif trois rails ». Par un vocabulaire frisant la poésie, il décrit la beauté des chemins de fer suisses durant les années 1950 et 1960.

Michel Pousaz est un cheminot-modéliste pur sang. Jusqu'à sa retraite, dès le 1er janvier 2013, il a été au service de l'Administration de l'actuelle ligne Golden Pass, mieux connue chez les cheminots sous l'appellation MOB. Le MOB a son siège administratif à Montreux, point de départ de la ligne Golden Pass, ainsi que des autres chemins de fer gravissant les collines escarpées dominant le Lac Léman; un paysage qui invite carrément à rêver.

La tolérance et l'esprit d'ouverture au monde extérieur de nos confédérés romands, ainsi que cette attitude un peu réservée envers ce qui arrive « du dehors », lisible lors des scrutins, est sans doute le genre de Michel Pousaz. Sa manière, carrément enthousiaste en parlant du MOB, laisserait supposer qu'il ne dédie sa maquette qu'au MOB. Cependant, pour se rendre à son travail, il empruntait également la "voie normale" des CFF et c'est  à elle qu'il s'est presque entièrement consacré par son réseau. Par la pensée et aussi par les décors d'arrière-plan, sa maquette se situe entièrement dans la Suisse centrale. La fascination du chemin de fer du Saint-Gothard se fond profondément dans cette petite cabane en bordure du jardin, au milieu du vignoble vaudois. Et le paroxysme est atteint, lorsque Michel Pousaz, tout en s'occupant de son installation, écoute ses enregistrements de musique populaire Suisse de l'époque de la Landi 1939. C'est dès ce moment-là qu'il se sent vraiment chez lui, retourné à son époque, celle qu'il a vécue lorsqu'il n'était encore qu'un garçon.

Chemin de fer de son enfance

Michel POUSAZ s'est souvent évadé de chez lui en bicyclette, pour aller admirer la ligne CFF à Saint.-Triphon. C'est là qu'il a pu étudier le trafic ferroviaire et le vivre à fleur de peau. Les trains internationaux, qui passaient en direction de Paris ou de l'Italie, le fascinaient particulièrement. Il se souvient, avec précision, que les voitures-restaurants étaient presque toujours derrière la locomotive. Encore plus, l'intéressaient les "Crocodiles" avec les trains de ciment, formés par les wagons spéciaux destinés au transport direct de Wildegg à Sion et par les bennes spéciales pour la construction du barrage du Lac des Dix. Normalement, les "Crocodiles" n'étaient autorisées à ne circuler que jusqu'à Brigue, même avec des trains ordinaires. Cependant, la traversée du Tunnel du Simplon n'était autorisée qu'exceptionnellement, car l'humidité régnante dans le ce long tunnel affectait souvent sérieusement les isolations électriques. Il fallait prévoir des dispositifs spéciaux pour rouler jusqu'à Domodossola. En hiver, lors d'écarts élevés de température, c'était pratiquement impossible.


Maquettes de trains toujours nostalgiques

Michel Pousaz a toujours vendu son âme au chemin de fer de "son" époque. Cela fait plus de vingt ans que nous avions déjà écrit au sujet d'une maquette en écartement 0, qu'il avait installée dans la partie mansardée de sa maison d'habitation. Ici circulaient des locomotives et des wagons de la grande époque de la "Coarse-Scale" de Kaiser, Hag et autres fabricants. Les années ont passé et il a fallu transformer cette partie mansardée en appartement. La maquette a dû être démontée, le matériel y relatif a trouvé de nouveaux propriétaires à l'occasion de bourses. En contrepartie, Michel Pousaz s'est acheté, pièce par pièce, du nouveau matériel roulant, mais en HO et aux marques Märklin, Hag et autres, qui étaient appropriées pour obtenir des véhicules de la même époque. Avec patience et persévérance, il a pu se procurer une collection considérable. Une maquette de moindres dimensions, mais d'étendue suffisante, est née dans sa maison. De nouvelles perspectives ont surgi par la construction d'un cabanon de jardin au bord de son terrain. Ici, il a a été prévu un petit local pour un nouveau réseau.


Nouvelle installation du "cabanon"

Le nouveau local du cabanon ne mesure que 1,70 m sur 2,90 m. Un autre local d'environ deux fois cette surface figure à côté. Sans relation avec l'installation ferroviaire, il servira de séjour pour les habitants de la maison. Le nouveau local pour le réseau ferroviaire est cependant isolé et bien pourvu en courant électrique. En hiver, un léger chauffage électrique fonctionne. Il n'a fallu que six mois pour construire ce nouvel empire ferroviaire.

Contrairement à la maquette dans la maison, avec voie unique et rampes, la nouvelle installation n'est qu'en palier; par contre, à double voie et avec une belle gare, ainsi qu'un dépôt. Tout est commandé de manière conventionnelle, avec des commutateurs Märklin pour la commande électromagnétique des aiguillages et des signaux. La traction s'effectue également de façon traditionnelle, avec des transformateurs Märklin. En grande partie, le matériel est de provenance de Göppingen, mais des véhicules d'autres fabricants se sont ajoutés au cours des années, telle "l'importantissime" ancienne Ae 6/6 de Hag..

Michel Pousaz a réussi à acheter tous ses véhicules aux bourses. Ils sont devenus si nombreux, qu'ils n'ont plus de place sur la maquette. Une vitrine dans le local se prête comme voie d'exposition. "Cela suffit maintenant", dit Pousaz, au sujet du matériel roulant qui s'est accumulé. Cependant, comme complément à la légendaire "Crocodile" 3015 verte, il cherche encore une brune, que l'on pouvait acquérir dans les années 1990 et qui faisait partie d'une série spéciale encore munie de l'ancienne technique; sitôt dit, sitôt fait, entre-temps, il a effectivement réussi à s'approprier un tel exemplaire.
 
 
Rêves du temps jadis

Le chemin de fer d'autrefois n'existe définitivement plus aujourd'hui, affirme Michel Pousaz. Par contre, il lui reste toujours la possibilité de pouvoir rêver à cette époque ferroviaire, lorsqu'il séjourne dans son "Chemin de Fer-Musée du Cabanon", qui lui permet de se rappeler l'ancien temps avec les bruits caractéristiques des moteurs et engrenages appartenant à cette époque. Il se souvient aussi de la rampe Nord du Saint-Gothard en 1:1 et tout particulièrement celle des débuts de l'imposant réseau HO  "Saint-Gothard" du Musée Suisse des Transports de Lucerne. Il se souvient précisément lorsque les "Crocodiles" et les Be 4/6 circulaient sur cette installation. Dans le cabanon, un service intense de circulations ressemble à celui de la grande installation de Lucerne; il est permis de rêver !


Rêves publiés de Michel Pousaz

Au fil des ans, Michel Pousaz s'est exprimé par des publications imagées et par l'Internet au sujet des différents thèmes concernant le chemin de fer et le modélisme ferroviaire nostalgiques. En édition à propre compte, ont paru, il y a quelques années, des bandes photos avec des images de son fond de trésors. Régulièrement, il entretien aussi ses fans par des articles au sujet de son chemin de fer-modèle, ainsi que du chemin de fer réel.


Légendes des illustrations

Les deux locomotives favorites de Michel Pousaz en tête de ce lourd convoi de marchandises: les Be 4/6 et Be 6/8 III, les deux légendes de la traction électrique des CFF, mises en valeur par leur entraînements à bielles, ainsi que par le chant typique de leurs engrenages.

La locomotive de man½uvre à trois essieux de Märklin présente une grande ressemblance avec la Ee 3/3 des CFF ; elle peut donc être utilisée sans restriction sur les réseaux modèles de type suisse.

L'Ae 4/7 des CFF s'avère être un classique absolu sur un réseau des années 1960 ; ici en tête d'un train mixte.

Grande ambiance à la gare et en face du dépôt à deux voies, alors qu'apparaît en toile de fond le paysage des Préalpes de la Suisse centrale.

Ici, comme Michel Pousaz le présente, la Ligne du Saint-Gothard longe le Lac des Quatre-Cantons en pays uranais.

La classique Re 4/4 de la deuxième série, produite par Märklin, brille de tout son charme fou, malgré son aspect rustique par rapport à aujourd'hui.

Lorsque l'Ae 6/6 en HO est apparue au début des années 1960, elle fit une absolue sensation.

Ses locomotives électriques favorites furent, durant de nombreuses années, les machines du Saint-Gothard les plus typiques, notamment la « Crocodile », dont la mécanique était une merveille.

Le train omnibus, composé de voitures à plates-formes ouvertes, provient d'une production plus tardive de Liliput, mais demeure tout simplement une référence sur ce réseau nostalgique.

Ambiance de modélisme ferroviaire, se situant entre la fin des années 1950 et le début des années 1960: Par exemple, on peut imaginer Flüelen ou Erstfeld.
 
Le duo classique « Crocodile » et Be 4/6 parmi les monts uranais.
Le car postal jaune à museau, de Saurer, est de la partie.

En osmose avec l'époque représentée, voici les bâtiments réalisés par d'anciens fabricants.

Suzanne, l'épouse de Michel Pousaz, est responsable de l'aménagement paysager.

Ce train nostalgique, avec l'Ae 3/6 III, a circulé, l'année dernière dans le Chablais, ceci pour le compte de l'Association 10264.

Les bâtiments, datant d'il y a environ 50 ans, ont été rafraîchis, voire totalement repeints par l'épouse de Michel Pousaz.

Une vue presque complète du chemin de fer modèle HO "au cabanon", représentant une époque du début des années 1960 en Suisse centrale.

Michel Pousaz est ici dans son élément avec, au premier plan, ses deux locomotives favorites.

C'est dans la partie droite de ce bâtiment que se situe l'installation.

La vaste collection de locomotives apparaît entre temps dans la vitrine.
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Friday, 07 February 2014 at 7:27 PM

Edited on Wednesday, 08 June 2016 at 5:58 PM

L'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadis

A mon avis strictement personnel, la meilleure façon de glorifier les beautés naturelles de notre patrie, ainsi que les constructions réalisées par nos citoyens, demeure, encore et toujours, dans la mise en valeur des cartes postales (en noir-blanc ou coloriées) éditées entre la fin du XIXème et le milieu du XXème siècle.
 
Des cartes postales coloriées se dégage une bouleversante nostalgie (où certains traits sont parfois même quelque peu forcés), pouvant même aller jusqu'à nous plonger dans une très violente mélancolie, voire une sorte de détresse; en effet, si l'on compare la Suisse de ce début de vingt-et-unième siècle à celle relative à ces fameuses cartes postales, force est d'admettre qu'il est parfaitement légitime de ressentir de tels regrets envers un temps enfui et qui ne reviendra jamais plus !
 
Grâce à l'extrême savoir-faire de mon épouse Suzanne au niveau du décor, mon modeste "Chemin de Fer-Musée du Cabanon" restitue cette ambiance de carte postale environnementalo-ferroviaire, où la voie ferrée, les installations fixes et le matériel roulant se fondent dans une osmose à nulle autre pareille avec le décor; à ce sujet précis, la première photographie ci-dessous en constitue un poignant exemple.
 
Voici donc, ci-dessous et dans les chapitres suivants, quelques cartes postales qui valent encore mieux que le meilleur des discours. Par contre, vous l'aurez tous remarqué, la première photographie ci-dessous, représentant un fond de paysage de mon chemin de fer modèle au soleil couchant, est absolument digne d'une carte postale coloriée, alors que la troisième photographie de ce chapitre, qui met en valeur le modèle de ma Be 4/6 12303 de Spengler, se rapproche très fortement du niveau de l'ambiance offerte par la deuxième petite photographie du centre (représentant l'arrivée en provenance d'Airolo, ceci durant les premières années de l'électrification, d'un train en gare de Goeschenen, remorqué par une "12300" dans son aspect d'origine).  En effet, une de mes plus grandes jouïssances contemplativo-ferroviaires consiste à, tout d'abord, découvrir une photographie, qui m'hypnotise par son exceptionnelle beauté et, ensuite, qui m'incite à me rapprocher le plus possible de l'ambiance dégagée, en disposant le matériel roulant le plus adéquat à un endroit du réseau qui soit le plus ressemblant au niveau du paysage; cette opération se désigne tout simplement par "Résurrection d'une époque disparue".
 
L'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadisL'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadisL'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadis
L'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadisL'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadisL'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadisL'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadis
L'Helvétie parfaite par les cartes postales du temps jadis
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 20 February 2014 at 9:20 AM

Edited on Friday, 21 February 2014 at 2:36 PM

Quelques cartes postales (première partie)

Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)Quelques cartes postales (première partie)
​ 8 |
​
3 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 20 February 2014 at 9:23 AM

Quelques cartes postales (deuxième partie)

Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)Quelques cartes postales (deuxième partie)
​ 0 |
​
0 | Share
Comment

#Posted on Thursday, 20 February 2014 at 9:28 AM

Edited on Friday, 27 June 2014 at 8:12 AM

My archives (605)

  • Quelques cartes postales (troisième partie) Thu, February 20, 2014
  • Quelques cartes postales (quatrième partie) Fri, February 21, 2014
  • Nouveau wagon et nouvelles ambiances Mon, March 03, 2014
  • Merveilleux wagons marchandises européens Tue, March 11, 2014
  • Merveilleux wagons marchandises européens - 1ère partie Tue, March 11, 2014
  • Merveilleux wagons marchandises européens - 2ème partie Tue, March 11, 2014
  • Previous
  • Next
  • Previous page
  • 1 ...
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • ... 26
  • Next page

Design by the-skyrock-team - Choose this background

Report abuse

Subscribe to my blog! (18 subscribers)

RSS

Skyrock.com
Discover
  • Skyrock

    • Advertisement
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Post to my blog
    • Developers
    • Report abuse
  • Info

    • Here you are free
    • Security
    • Conditions
    • Privacy policy
    • Manage ads
    • Help
    • In figures
  • Apps

    • Skyrock FM
    • Smax
    • SKRED
  • Other sites

    • Skyrock.FM
  • Blogs

    • The Skyrock Team
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • France
    • International (english)
    • Site mobile